Rédigez une fable d’une trentaine de lignes, mettant en scène un animal et illustrant une morale.

« Rédigez une fable d’une trentaine de lignes, mettant en scène un animal et illustrant une morale. Une proie facile mais pour qui Un Coyote, se promenant dans la forêt pour trouver son repas, vit un Agneau. L’Agneau, si innocent, fut une proie facile.

Le Coyote fonça sur lui, et le tua d’un seul coup de dents.

Le Sanglier, toujours à l’affût, rencontra le Coyote et sa proie.

Le Sanglier s’approcha et lui dit d’un ton autoritaire : « Coyote, tu ne partages pas ? ».

Coyote lui répondit sèchement : « Non ! ».

Sanglier, qui avait très faim, le menaça alors de le manger lui et l’Agneau.

Coyote prit peur et s’enfuit face à l’autorité du Sanglier.

Il emporta l’Agneau afin de nourrir ses marcassins.

Sur son trajet, il tomba nez à nez avec l’Ours affamé.

Ses poils commencèrent à se dresser.

Le duel allait commencer.

Qui allait avoir l’Agneau ? L’ours lui dit : « Monsieur le Sanglier, où compter vous allez avec cet Agneau ? Ne comptiez-vous pas le gardez pour vous seulement ? ».

Le Sanglier ne voulant pas partager, n’osait pas non plus dire non à l’Ours beaucoup plus fort que lui. Alors il lui répondit : « C’est Coyote qui l’a tué et c’est mon Agneau.

Mais si tu veux en avoir un seulement pour toi, je suis persuadé qu’avec ta force tu arriveras à le convaincre de te donner sa prochaine proie ».

L’Ours rigola et lui dit : « je veux mon repas maintenant et je veux manger cet Agneau !».

Pendant ce temps, le Renard était caché derrière l’arbre et essayait de comprendre cet affrontement.

Une fois qu’il eut compris, il s’avéra lui aussi très intéressé par l’Agneau.

Renard, rusé, savait qu’il n’allait pas facilement l’avoir.

Il eut l’idée d’aller voir le Corbeau.

Une fois qu’il eut trouvé Corbeau, il lui dit : « Corbeau ne sais-tu pas ce que j’ai vu ? Un bel Agneau fraîchement tué ».

Le Corbeau, mis en appétit, lui demanda où il se trouvait.

Renard lui répondit : « non loin de la grotte de l’Ours.

Seulement, il y a déjà le Sanglier et l’Ours qui sont déjà) en train de se disputer pour l’avoir ».

Le Corbeau déçu lui répondit : « ils sont bien plus forts que nous… ».

Renard, rusé, voulant lui aussi l’Agneau lui fit une proposition : « certes ! Mais je suis sûre qu’avec ma ruse et tout ce que je sais sur eux,.... »