Proposition de commentaire de l'extrait : « Ce fut comme une apparition » ; 1ère partie, chapitre 1.

D’après la façon que le personnage principal, Frédéric, a de décrire Mme Arnoux, on se doute tout de suite qu’il est victime d’un véritable coup de foudre. Il est complètement ébloui par elle, attiré par le mystère qu’elle dégage et ne cesse de tourner autour d’elle pour l’observer sous toutes les coutures.  Tout d’abord, on remarque son émerveillement avec un large champ lexical de l’éblouissement comportant des termes comme « splendeur « (l17), « séduction de sa taille « (l18) ou encore « ébahissement « (l19) relayé par un jeu de lumière avec des adjectifs de couleur (« roses « l8, « claire « l10, « bleu « l12). On sens aussi que l’aspect mystérieux de Mme Arnoux intrigue Frédéric, il ne connaît rien d’elle comme il le dit lui-même à la ligne 20 « Quels étaient son nom, sa demeure, sa vie, son passé ? « et désir tout savoir sur les endroits où elle vivait, les vêtements qu’elle portait habituellement et même les gens qu’elle fréquentait.