Prologue de junon Hercule furieux

Prologue de Junon (p4 à 7) Vers 4à à 124 Le théatre grec nous a habitué à commencer par un prologue dont la fonction estde nous donner des repères. C’est le contraire de ce que les théoriciens de la dramaturgie appellent in media res ici le spectateur n’est pas convié à une sc d’expo in media res. Action théâtrale s’ouvre quasiment tjs par un prologue: exposer la situation . Ici le contraire d’une scène in media res è le lecteur est introduit pour usé une métaphore architecturale: le spect commence à percevoir mais avec une distance. Prologue (la paroles d’avant la parole) pris en charge par un Dieu: Junon. Le dieu domine, puisque nous observons le destin avec un certain recul: ça se passe par l’intervention d’un être supérieur surnaturel. Convié en temps que spectateur à prendre une certaine hauteur, les dieux jouissent d’un savoir plus important= pertinent que ce soit un dieu qui nous disent cmt se constitue l’action et qui nous prédit l’avenir. Tartuffe: se finit qu’orgon se met ds une situation délicate: conduit par la colère déshérite ses enfants donne sa fille à tartuffe (un gueux) celui-ci devient légataire, et peux prétendre récupérer les biens d’Orgon, tout va mal donc pour cette famille délogé de chez eux, un exon arrive et restaure Orgon dans sa famille et arréter Tartuffe è deus ex machina Ici on prend en charge le présent et on anticipe le futur, Euripide dans sa propre tragédie d’hercule offre ce poste à Amphitryon: perso humain. Pq Sénèque n’a pas suivit son prologue grec? 124 vers pour ce prologue: très long. Junon part d’une situation: la sienne exposée des ces premiers vers. Le lieu où se forme le lieu d’une situation né une réaction qui vise à changer la situation ds laquelle se trouve Junon ( tromperie de Zeus ). Junon évoque le perso héroïque: mais sans jamais le nommé: elle prends son temps: v 23: « ce fils « succession de vbe à la troisième personne et enfin le héros est nommé v 40. Ce retard de cette nomination significatif entre le nommé: Hercule et le nomman: Junon. Relation conflictuelle et ambigüe. En quoi Est-ce que ce prologue est la manifestation d’une solitude que le monologue exhibe et exorciser par le monologue ( on se sent moins seul. En quoi cette parole est spéculaire (action du miroir, fait apparaitre l’autre) La parole se tisent au sein de cette parole toute une poétique de la nuit: parole nocture. I La parole solitaire 1) la déesse vaincue et solitaire Situation monologique qui impose une vision solitaire du perso concentré sur un plan dramaturgique qui peut renvoyer à une solitude psychologique. LA déèsse réagit comme une femme: vit la jalousie; On peut aussi observer ce trait majoritaire: la déchéance. Tournure expressive: la seul qui m’est restée. Dechue de son champs de déèsse elle n’est plus qu’une femme, une épouse abandonnée. La déesse se présente comme vivant un manque, un certaine échec, dans une lutte contre le pouvoir: ne parle pas d’amour. Elle dit regrettait la place qui était la sienne. La formule « c’est la terre qui me faut habité « condition de mortelle. Les deux destins s’inscrivent dans des c...