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Plan détaillé de commentaire sur le texte « Aurélien » de Louis Aragon

Publié le 23/02/2024

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« Commentaire : Sujet : Vous ferez le commentaire du texte C extrait d’Aurélien d’Aragon en vous aidant du parcours de lecture suivant : 1- Les plaisirs de la promenade. 2- Les multiples facettes de Paris. Introduction rédigée : Ce texte est extrait du roman « Aurélien » de Louis Aragon, publié en 1944.

Il s’agit d’un récit descriptif narré par un des personnage de l’œuvre, Bérénice, dans les années 20.

À la fin de la première guerre mondiale, un mouvement d'euphorie et de libération envahit la France.

Le peuple français redécouvre le plaisir de s'amuser et toute la société retrouve un intérêt pour la culture.

Les années 20 deviennent les années folles, synonymes de bouillonnement et d'effervescence.

Dans cet extrait, Bérénice est une jeune provinciale, qui séjourne temporairement chez des cousins parisiens : Blanchette et Edmond.

Elle décrit dans ce texte, ses promenades dans la ville de Paris.

C’est cet extrait que nous allons étudier avec pour projet de lecture, la question suivante : Comment le personnage de Bérénice explore-t-il les plaisirs de la promenade à Paris et comment cette expérience révèle-t-elle les multiples facettes de la ville, soulignant ainsi la diversité et la complexité de l'environnement parisien ? Dans une première partie nous parlerons de l’exploration de Bérénice des plaisirs de la promenade.

Puis, dans un second temps, nous révèlerons les multiples facette de la ville dont la narratrice a fait l’expérience. Plan détaillée : 1 - Bérénice explore à Paris les plaisirs de la promenade : - Utilisation de l’imparfait à valeur descriptive « savourait », « était », « songeaient » : Bérénice décrit dans les détails sa promenade.

Le verbe « savourer » dénote du plaisir que ressent Bérénice de traverser la ville de Paris en flânant dans ses rues, sans surveillance extérieure. - « maîtresse d’elle-même » : Bérénice savoure le nouveau contrôle qu’elle a sur sa vie. - « l’envie lui prenait » : description de sa recherche de liberté. Bérénice exprime la joie qui l’emplit d’être maîtresse de sa vie, sans avoir besoin de l’avis de qui que ce soit, pas même celui de ses cousins parisiens.

Elle aimait la liberté, dont elle pouvait faire preuve à Paris. - L’usage répété des points d’exclamations marque l’émerveillement de la narratrice lors de sa promenade dans la ville. - « l'on s'amuse autant à passer la centième fois que la première » : plaisir de la flânerie.

Repasser dans chaque recoin de la ville ne semble pas déranger notre narratrice tant elle semble adorer se promener dans Paris. - Les promenades dans Paris, autour de la place de l’Étoile, sont pour Bérénice comme une broderie sans dessein précis.

Figure de style de la comparaison.

La promenade est associé à la broderie, loisir que les femmes adoraient dans les année folles.

Bérénice, elle, se satisfait aussi d’une broderie, que d’une promenade dans Paris.

On pourrait même dire qu’elle lui préfère la promenade car il n’y a pas de dessin précis à suivre, elle peut aller où bon lui semble tout en sachant qu’elle ne sera pas déçu de sa découverte, car ce qu’elle verra ne ressemblera en rien à ce qu’elle aurait vu en prenant un autre chemin. 2 - L’expérience de la narratrice permet la découvertes des multiples facettes de Paris : - L’interjection « Oh », l.4 marque la surprise de Bérénice et son enthousiasme à découvrir cette ville aux multiples facettes qu’est Paris.

Elle est époustouflée par la découverte de ce nouveau monde dont elle ne connaissait rien. - L’adjectif mélioratif « joli » l.4, pour.... »

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