Parfum exotique de Charles Baudelaire - Spleen et idéal - Les Fleurs du mal
Publié le 06/09/2012
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Au dernier tercet, je ne suis pas sûre, mais je pense qu’il descend du bateau, et il pose pied sur la terre ferme. Ce n’est pas dit, mais je pense par déduction. Une fois qu’il descend, il a toute sorte de sensations éprouvées : d’abord olfactive, il sent l’odeur des tamarinier, puis des sensations visuelles, il identifie la couleur verte du tamarinier. Il insiste que l’odeur « circule dans l’air« et « enfle ses narines « donc c’est vraiment une odeur pénétrante. Une odeur agréable, et qui rentre en harmonie avec le chant des marins, donc là on a aussi la sensation de l’ouïe. On remarque aussi, que du parfum des seins de Jeanne, il est passé à l’odeur des tamariniers. On remarque aussi que les rimes « tamariniers « et « mariniers « sont des rimes très riche, donc ça crée un environnement harmonique.
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