Où se pratique la préciosité ?

« offrent un autre avantage sur les salons, c'est qu'on peut y aborder tous les sujets sans être gêné, ni par lesbienséances mondaines, ni par la crainte de se montrer dogmatique ou pédant. Le premier café littéraire fut celui de Veuve Laurent, rue Dauphine.

Dès 1690 environ il est à la mode .

En 1694,Jean-Baptiste Rousseau y place le cadre de sa comédie du Café , dont le texte et l'illustration restituent fidèlement l'atmosphère de ce cercle, ou l'on joue encore plus qu'on ne parle de littérature.

Boindin, écrivain de ce siècle, qui l'afréquenté un peu plus tard, le décrit comme « lerendez-vous de tous les jeunes gens qui avaient du talent pour lapoésie, l'éloquence, les sciences exactes ou les arts; en un mot la pépinière de toutes las académies ». Les académies La première moitié du dix-septième siècle a été marquée par une croissance phénoménale des académies privées,organisées autour d'une demi-douzaine d'individus se réunissant régulièrement.

Les académies étaient généralementplus formelles et concentrées sur la critique et l'analyse que les salons .

Cependant, certains salons tels que celui de Marguerite de Valois étaient proche de cet l'esprit universitaire. Dans la deuxième moitié du siècle, les académies ont progressivement était mis sous la commande du gouvernementet le nombre d'académies privées ont diminués.

Mais ces différentes académies, tels que l'Académie Platonicienne,l'Académie Florentine et l'Académie Française vont permettre la progression de la Renaissance et du Maniérisme enFrance en attirant des philosophes et des humanistes français. Les salons, les cafés et les académies ont joués un rôle principal dans tous les aspects de la société française.

Uneffet très positif de cette échange de pensées entre les membres de l'aristocratie et de la haute bourgeoise étaitque la présence des gens d'autres classes était encouragée.. »