Musset a dit : L'homme est un apprenti, la douleur est son maître, Et nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert. Quels sont donc, dans tous les genres, les effets féconds de l'éducation par la douleur dont parle le poète ?
Publié le 04/04/2012
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- Alfred de Musset a écrit : L'homme est un apprenti, la douleur est son maître Et nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert... Peut-on appliquer ces deux vers au poète lui-même, et doit-il à la douleur ce qu'il y a de plus beau dans son œuvre ?
- Vous connaissez les vers célèbres de Musset (Nuit d'Octobre) : « L'homme est un apprenti, la douleur est son maître, Et nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert ». Dégagez-en la partie humaine et montrez dans quelle mesure ils s'appliquent à l'oeuvre de Musset lui-même.
- Alfred de Musset :« L’homme est un apprenti, la douleur est son maître ».
- Discuter cette pensée d'Alfred de Musset :« L'homme est un apprenti, la douleur est son maître ». ?
- Taine a dit d'Alfred de Musset : « On ne l'a point admiré, on l'a aimé. C'était plus qu'un poète, c'était un homme. » Que pensez-vous de ce jugement ?