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Mort aux vieux ?

Publié le 15/09/2015

Extrait du document

Ces considérations optimistes ne doivent pas nous faire oublier une réalité souvent cruelle.

 

Ils sont nécessairement marginalisés dans une société dont une des grandes valeurs est la jeunesse et qui exalte souvent davantage le corps que l’esprit.

 

La vieillesse accentue les inégalités sociales.

 

Solitude de nombreux vieux éloignés de leur famille, spécialement dans les grands centres urbains.

 

Déchéance physique et morale accentuée parfois par les structures d’accueil qui sont de véritables « mou-roirs ».

« CORRIGÉ SEMI-RÉDIGÉ Introduction La délicate affaire du financement des retraites et du déficit de la Sécurité sociale remet périodiquement à l'ordre du jour le problème de la place des personnes âgées dans notre société.

Quelle place, en effet, ménager à des gens non actifs et non productifs dans une société qui semble se tourner de plus en plus vers des valeurs de profit? Pour scandaleuse qu'elle paraisse, n'hésitons pas à poser la question: faut-il tuer les vieux? Première partie : qui sont les vieux? • Réalité physiologique.

• Réalité sociale: les retraités, non actifs, non directe­ ment productifs.

• Notion subjective : les vieux, ce sont toujours les plus vieux que soi ou les autres ; on a même créé un nouveau terme, «le quatrième âge» qui recule encore la limite.

• Dans les sociétés traditionnelles, le problème semble plus simple: la place faite aux vieux fait qu'ils n'hési­ tent pas à se reconnaître comme tels.

• Dans nos sociétés développées, la peur de vieillir crée à la fois des blocages socio-politiques et des névroses.

• Cependant, la famille reste un lieu de différenciation objective : les vieux, ce sont les plus vieux, à savoir les grands-parents.

• On constate pourtant depuis une dizaine d'années le développement d'un nouveau secteur économique axé sur le troisième âge.

• Les vieux ne constituent pas un groupe par nature,. »

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