Montrez que le travail, en toutes situations, est nécessaire à la dignité de l'individu, au développement de sa personnalité, à la sécurité de son avenir et à la prospérité du pays.

« -15- hom.m·e inférieur, la risée de tous; non seuleme1:t ~~ u 'aura aucune personnalité, aucune valeur, mais il tom­ J:J.era au rang de l'animal.

Quels que soient ses don ~.

c'est le travaii sellll, et le travail constant qui les fait .

fructifier; c) Même riche, surt~mt à l'heure actueHoe, l'individu ne sait pas s'il Ie sera toujours demain.

Pert·es, r•ever s, sp éc ul·ations malh eur.e u ses, boul :ev.ersements indu str i·e~s ou financi e rs peuvent d'un jour à l 'autre le ruiner totu­ J:ement.

Que fera-t-H alors s'il n'a pas l'habitude du travail, s 'H ne possèd.e pas d·es ca~pacités que!co nque~ ; il (Of.

le conte de Voltair e , à ce sujet, intitu ·lé Jeannot et Colin.) Deuxième point.

- Le travail de lou s e·st néœs saire à la pro s­ périté du pay .s : a) C 'est le travail ince ssant de chacun qni fait la riche ss·c oommerci:ale e .t io,du strie hle d'un .pays.

La collecti vrté ne vaut qu.e parce que vaut l'ef fort de J'jndividu; b) C'est le trayai>l inloellectuel et artistique üe tous ceux qui ont des dom; et qui les font fructifier qui rend un pays illustre et glori·e ux .

•Ne pas développ-er se.s don~ ; c'·est voler son pays; c) Enfin, d'une manièr e générale , l'oisH est un poids mort 'pour la société.

C '·est d 'aHleurs parmi •l-es oisifs, J.c.s pare ~e ux que se rec rutent les crlminels, les voleur s, les ennemis de 1 'or.dre"! CoNCLUSION.

- Travai'lil.os dan s notr e ~umhle Gphère, au &si 'ard emm ent que nous pourron s.

C 'es t notr .e devoir aus & i bien vis-à­ .

vis de nous-mêmes que vis-à -v. 1s de notre patrie.. »