Montaigne, De l’éducation des enfants, Essais I-26

« « Qu’on fût » « qui eût » « qu’on exigeât » « qu’il se comportât » « qu’il se conduisit » « corrigeât » « commençât » « qu’il invente » « qu’il écoute » « qu’il le fasse » … ( l1 ; l2 ; l4 ; l7 ; l8 ; l10 ; l11 ; l15) · Cela permet à l’auteur d’inciter, de donner des conseils et d’exposer son opinion sur l’éducation.

C.

Une argumentation illustrée. · Images : métaphores filées · Métaphore culinaire : « Regorger la nourriture comme on l’a avalée (…) donné à digérer » L 38-41 · Image de l’estomac : permet de mieux comprendre · Métaphore équestre : « Il est bon qu’il fasse trotter devant lui (…) montant qu’en descendant » L 20-26 L’image permet de donner un exemple, Montaigne fait le choix d’utiliser une argumentation illustrée pour convaincre le lecteur.

II.

Pour exposer sa vision nouvelle de l’éducation A Les qualités d’un bon précepteur. · Privilégie la formation de l’intelligence par rapport à l’accumulation de connaissances : « la tête bien faite que bien plein » · Il ne contraint pas l’élève à répéter : « Qu’il ne lui demande pas seulement de lui répéter les mots de la leçon » L 32 et « ce n’est que de redire ce qu’on nous a dit » L 11 · Montaigne pense qu’il faut s’adapter à son élève : « qu’il écoute »« en réglant l’allure de sa progression » ( l11 ; l32) Montaigne prône les méthodes nouvelles qui s’adaptent à l’élève.. »