Mon rêve familier

« * Il n’est compris que de cette femme ce que sugg.

l’insistance des V.5 et 6 * Cette quest° se solde par une fin de non -recevoir : « Je l’ignore » * Par contre, la réponse a la 2eùe quest° est encore + brutale et étoffé « Son nom ? » * Elle marque – un refus car elle n’est pas séparée par un tiret * Elle se compose de 2 parties qui synthétisent les divers aspects de la femme * L’impreciss° « Je me souviens… » renvoie au flou qui entoure le perso.

puisqu’aucune réponse claire n’est donnée * Les adj.

« doux » et « sonores » sugg.

le caract.

harmonieux et musical du prénom.

* Le 2nd caract.

du perso.

renvoie à l’univers de mort.

Cette idée est mep au v11.

Elle devient un thème dominant. * L’amplitude du thème est marquée au v11 par l’alexandrin distribué harmonieusement en 2 hémistiches * La périphrase euphémique « ceux des aimés..

» met la femme en relation avec les êtres aimés et disparus. * Cette précaution die à des figures d’atténuation marque la souffrance du poe.

dv.

cette absence * Le flou de l’image féminine est du davantage au fait qu’elle est du nbre.

Des « aimés que la vie exila » qu’a un rêve récurrent. * La femme est associé a cette idée de mort les termes comparatif « comme » et « pareil au ».

* Cette association devient une assimilation a ce monde de défunts au V13 par le verbe avoir. * De plus la comparaison de son regard a celui des statues renvoie a la mort en raison de sa fixité.

Cette comparaison se fait sèchement sur un seul vers ce qui confirme l’idée que le physique de la femme aimée est moins évocateur que son nom et sa voix * Il est donc sensible à ce qui est de l’ordre du son, impalpable et immatériel * Au nom « douce et sonore » corresp.

Une voix « lointaine du… » * L’accumulation de 3 adj.

Renforcé par la conjonction « et » sugg.

un souvenir auditif qui se déroule par vagues * Cette impression est accrue par l’asson.

[a] au V13 * Cette gemme présente une image sereine en corresp.

Avec l’amour qu’elle suscite * Le rythme du vers est ample grâce au rejet du vers 13, et parait plus amplifié par la diérèse sur le mot « inflexion » * Cette évocation semble laisser de coté l’idée de la mort, sauf ds.

l’adj.

« lointain » * Le singulier « elle a… » associé au pluriels des « voix chères » sugg.

que cette femme est en quelque sorte la quintessence de l’amour.

Elle possède une dimens° universelle * La fin du v14 peut être considérer comme la chute du sonnet * La relative « qui se sont tues » réintroduit l’idée de la mort. * La rime statues/tues établit une corresp.

entre fixité et silence mortels * En fin de poème la femme est associée à l’idée de la mort.

Son image a donc évolué au cours du texte * « De la musique av.

toute chose..

» ainsi Verlaine définissait son art poétique.

Ce poème possède une musicalité exceptionnelle.

Ce mode mineur ici les figures d’atténuat° et les phrases souple permettent d’exprimer une souffrance discrète qui n’a pas l’inélégance d’un désespoir bruyant.

La femme établit des corresp.

« musicales » entre le monde des vivants et des morts.. »