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Molière comédie classique.

Publié le 01/05/2015

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Objectifs : L'argumentation théâtral sur le thème de l'éducation . La préciosité , la maîtrise des discours . Rappel : Siècle , courant littéraire ,inscription de l'auteur dans le courant doit précèder toutes références plus précises au texte . A. Texte et contexte . Les femmes savantes , est un texte de Molière écrit en 1672 en pleine époque du classicisme . Le texte n'est pas écrit sous le courant littéraire de la préciosité .Le thème Des précieuses et des Femmes savantes abordent la préciosité de manière satirique visant à critiquer ces excès . Définition : La préciosité repose sur la volonté de se distinguer par la pureté du language , l'élégance de la tenu et la dignité des moeurs . C'est un mouvement d'un extrême raffinement donc ridicule . C'estun mouvement désirant s'opposer aux manières rustres du 16 ème siècle . Il s'oppose à la violence baroque . C'est un des premieres mouvement féministes car il a poser le sujet de l'appriori , de la surpériorité masculine .Extrême pudeur , et extrême raffinement qui se tient dans les salons de Provence : Entre 1626 & 1662 . Le principe de la réunion en salon aura une grande influence sur la Révolution Français . Ces précieux et ces précieuses vont se livrer à une véritable réflexion sur la langue et l'écriture.Modification retenue par l'académie française . HAUTEUR devient AUTEUR . Le language est très hyperbolique .Miroir : conseiller des graces . Notre texte oppose dans une exposition théâtrale , Armande et Henriette qui chacune défende des théories d'éducation contraire . Un jour de Bac quand on analyse ka première scène , on doit chercher qui maîtrise le discours , qui parle le plus qui maîtrise le plus son sujet . Notre texte est un débat dans lequelle deux thèses s'opposent que l'on pourrait qualifier , rôle traditionnel de la femme contre nouveau rôle...

« l'indignation par la question « quoi ? », les anaphores de fille sont « beau nom », « titre », « charmante douceur », soit toute répétition méliorative.

La seconde question qui associe « fête » et « osé » à « mariage » présentant ceci comme une transgression pose le mariage comme une action ordinaire et lugubre, « mariage » est d'ailleurs anaphorisés par « vulgaire desseins », c'est donc l'action d'une personnalité médiocre.

Dés la deuxième réplique, les travers et les excès qui vont permettre au spectateur de rire d'Armande se manifestent. Nous notons que la pièce est versifiée, ce qui nous invite à penser que nous sommes en présence d'une grande comédie régulière.

L'excès d'Armande va se manifester dés sa seconde réplique, le mot « mariage » l'indispose (mal au coeur), ce qui va contribuer à affaiblir sa thèse car, si ses réclamations de liberté sont légitimes, son extrémisme va lui nuire.

Pour l'instant, elle maîtrise le discourt, sa troisième réplique (« ho mon Dieu [...] fille ») introduit le comique de mot par la répétition de cette interjection et Armande va proposer cinq image successives associées au mot « mariage », toutes plus péjoratives les unes que les autres (« dégoûtant », « étrange », « blesser », « sale » ...).

Armande cherche à convaincre sa soeur de rester fille.

Nous notons que dans la tirade cinq, comme dans les autres, Armande s'exprime avec force exclamation ce qui la pose comme une personnalité maniérée.

Ses propos expriment le mépris qu'elle peut approuver contre une attitude commune et ceux qui l'adoptent.

Ainsi donc, dans sa réplique six, nous notons tous le vocabulaire de la minoration (« bas », « petit », « claquemuré »), situe la femme mariée comme un tout petit personnage.

L'auteur utilise deux fois le mot « bas » qui l'oppose à « haut », la femme libre.

Après avoir fait le blâme de la femme mariée, Armande fait l'éloge de la femme savante.

Il y a une contradiction dans l'exemple prit car pour être mère, elle est obligatoirement une femme mariée, quel est donc le portrait de la femme savante ? C'est une femme éclairée (« clarté ») qui étudie, « l'étude ou la philosophie » devient une allégorie qu'on épouse.

Cette allégorie porte la femme au dessus de l'humanité qui s'oppose donc au vocabulaire « bas » utilisé pour le mariage.

Le mot « raison » s'oppose à « animal », la raison permet de maîtriser cette part animale, elle est domptée, le mot « ravalé » est péjoratif et nous renvoi à la condition de bête.

On a une double anaphore méliorative de la raison (« beau feu », « doux attachement »), me « feu » qui s'oppose à l' « obscurité », le « feu » qui repousse les animaux et permet à l'homme de s'extraire de sa condition animale.

Les femmes mariées se dévalorisent malgré leur intelligence, l'hyperbole « pauvreté horrible » symbolisant le mariage.

Nous avons une. »

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