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Médias et société du spectacle

Publié le 12/09/2015

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Les magazines d’information politique ou scientifique, les émissions culturelles, les retransmissions de films ou de concerts ont rendu accessibles à tous l’essentiel des connaissances et de la création humaines. Là encore, les médias se révèlent un incontestable facteur de démocratie et donc de progrès.

D’une façon plus générale, il est évident qu’il y a dans la notion de communication de masse un danger pour l’individu. Ayant par nature tendance à être consensuels, les médias laissent peu de place aux minorités et ne permettent qu’exceptionnellement l’expression des marginalités. Plus gravement, l’information dispensée peut devenir propagande, et l’on sait combien les moyens de communication de masse sont des instruments privilégiés des totalitarismes.

« CORRIGÉ SEMI-RÉDIGÉ Éléments d'introduction • Qui dit société moderne, dit mass médias.

• Les médias ont défini eux-mêmes le rôle qu'ils enten­ daient jouer et se présentent comme un facteur de pro­ grès pour la société moderne (progrès techniques liés).

• Cette vision optimiste ne laisse-t-elle pas de côté quel­ ques zones d'ombre? Première partie: les mass médias, facteur de progrès • L'information a progressé de façon spectaculaire dans la rapidité de transmission des données.

Notre perception du temps et de l'espace s'en est trouvée modifiée.

En quelques minutes, on sait ce qui se passe aux antipodes.

• Vulgarisation des connaissances : éducation de masse, facteur de démocratie.

• Divertissement : variété, abondance.

• Communication : tout le monde voit et entend la même chose au même moment(« prime time »: com­ munion générale de tous les téléspectateurs devant le même programme).

Deuxième partie : les dangers • Uniformisation, matraquage, américanisation des goûts (séries télévisées).

• Vulgarisation ou vulgarité? • Menace sur l'individu: la marginalité ne peut pas s'exprimer.. »

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