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LITTERATURE: Guillaume Apollinaire

Publié le 26/10/2009

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apollinaire

Guillaume Apollinaire (1880-1918)    L'oeuvre poétique d'Apollinaire est novatrice, tant dans le domaine de l'inspiration que de la technique, et constitue une charnière entre le symbolisme et le surréalisme.  

  • Soutien du cubisme.
Guillaume Apollinaire, qui s'appelait en réalité Guillelmus Apollinaris de Kostrowitzky, était un enfant naturel, fils d'un officier italien et d'une jeune fille d'origine polonaise dont il portait le nom. Il naquit à Rome et passa son enfance avec sa mère, sur la Côte d'Azur, où il fit ses études. Installé à Paris (1902), après un bref séjour en Rhénanie où il avait été engagé comme précepteur, il y mena une vie besogneuse. Il dirigea deux revues (Le Festin d'Esope, 1903; Les Soirées de Paris 1912), publia plusieurs romans, parmi lesquels L'Enchanteur pourrissant (1909), et un recueil de nouvelles, L'Hérésiarque et Cie (1912). Ami des peintres, en particulier de Picasso et de Marie Laurencin, avec qui il eut une liaison, il publia des articles (réunis en volume, Les Peintres cubistes, 1913) qui le firent apparaître comme le soutien le plus actif et le plus lucide du cubisme.

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« Apollinaire Wilhelm de Kostrowitzky, dit Guillaume Apollinaire Né en : 1880 Mort en : 1918 Famille : Fils naturel, Apollinaire naît à Rome.

Sa mère mène une vie agitée.

Études : Il fait ses études à Monaco,puis à Nice et à Cannes. La bohème En 1899, il s'installe à Paris.

Il exerce divers métiers précaires pour vivre.

Il écrit des feuilletons dans les journaux,apprend la sténographie.

Il devient secrétaire commissionnaire d'un boursier. En 1901, il devient précepteur de la fille de la vicomtesse de Milhau.

Il l'accompagne en Allemagne. Il tombe amoureux d'Annie Playden, la gouvernante anglaise de Mlle de Milhau.

Mais il n'est pas aimé en retour. De retour à Paris, il fréquente les milieux littéraires.

En 1903, il rencontre Jarry.

Il publie dans diverses revues.

Il créesa propre revue, Le Festin d'Ésope.

En 1903 et 1904, il fait deux voyages en Angleterre pour revoir Annie Playdenqui part pour toujours aux États-Unis. L'ami des peintres À Paris, il fréquente des peintres, Vlaminck, Derain, Picasso et assiste aux débuts des cubistes au « Bateau-Lavoir», immeuble de Montmartre où ils travaillent.

En 1907, il rencontre Marie Laurencin, peintre, avec laquelle il a uneliaison agitée jusqu'en 1912. En 1912, à la suite d'une erreur judiciaire, il est incarcéré une semaine à la prison de la Santé. Il fréquente les cafés à la mode de Montparnasse et de Saint-Germain-des-Prés.

La guerre Quand la guerre éclate en 1914, il s'engage.

Il est blessé à la tête en 1916 et est trépané.

Il reprend à Paris ses activités littéraires. En 1918, affaibli par ses blessures, il meurt des suites d'une grippe infectieuse. Œuvres 1899-1900 : Romans érotiques vendus sous le manteau. Jusqu'en 1908 : Parution de poèmes dans diverses revues (La Plume, La Revue blanche, La Phalange). 1908 : L'Enchanteur pourrissant.

1909 : « La Chanson du mal-aimé » paraît dans le Mercure de France. 1910 : L'Hérésiarque et Cie. 1911 : Le Bestiaire ou Cortège d'Orphée. 1913 : Peintres cubistes.

Méditations esthétiques, recueil d'articles.

Manifeste de l'anti-tradition futuriste.

Alcools. 1916 : Le Poète assassiné. 1918 : Calligrammes, poèmes de la guerre et de la paix.. »

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