Littérature comparée : La Chute de la maison Usher

« p.143 : Le narrateur sert de relais entre nous et cette histoire mais il est aussi chargé de nous transmettre la peur, laterreur, l’épouvante que le récit est censé nous donner. Le héros, Rodrigue Usher : Il souffre de maladie nerveuse dont le symptôme principal est une acuité des sens (p.133).

Toutes ses sensationssont multiplié ce qui explique qu’il s’enferme pour protéger ses nerfs.

Cela laisse entendre qu’il entendra les bruitsde sa sœur bien avant le narrateur. On apprend que c’est une maladie héréditaire, « un mal de famille ».

Cela renvoie au XIXe s.

où l’on découvre leslois de la génétique.

L’hérédité apparaît comme une fatalité au XIXe s.

car on l’a pas choisi ce passé pèse surnous. Il y une présence du thème de la mort, on pense que le personnage est à la fin de sa vie car il porte les marquesdu cadavre, ce qui est assez effrayant.

Mais il y a quand même une certaine grandeur du personnage comme l’« œil lumineux » car il appartient à une famille ancienne, aristocratique donc raffinée. Il y aune insistance sur le changement ente la jeunesse et l’état dans lequel il se trouve actuellement.

Ce quimontre que cette maladie l’a transformé et qu’il est à un stade avancé de la maladie.

Le narrateur reconnaîtdifficilement son ami. « spectral », « miraculeux » renvoient au surnaturel et suggère le fantastique dans la personne de FrédériqueUsher. C’est aussi un portrait physique que psychologique : lorsqu’il décrit le menton « manque d’énergie moral », ou lefront trop grand qui montre que l’esprit occupe une grande place dans sa tête.

La physiognomonie est l’artd’étudier la physionomie pour définir le tempérament. p.

133 au bas : Il évoque la manière dont Frédérique parle comme un « ivrogne » ou un « mangeur d’opium ».

Le narrateur suggèreque Frédérique peut avoir recourt à l’alcool et à la drogue ce qui peut expliquer ses hallucinations. p.

134 en haut :. »