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LHOTELLIER Clara HK AL Novembre 2015 Commentaire linéaire

Publié le 02/11/2015

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LHOTELLIER Clara HK AL Novembre 2015 Commentaire linéaire La Princesse de Clèves de Madame de Lafayette, 1678, Deuxième Partie Madame de Lafayette (1634-1693) née au XVIIe siècle est « une femme du monde ». C’est-à-dire que c’est une personne mondaine faisant partie de la cour d’Henri II. Madame de Lafayette est une femme savante. Elle a eu une éducation littéraire de par le fait qu’elle fréquentait les milieux aristocratiques. Elle se marie en 1656 avec le comte de Lafayette, en Auvergne puis revient par la suite à Paris pour des raisons familiales. Elle décide de fonder, rue Vaugirard, un salon où se réunissaient ses plus grands amis. La Princesse de Clèves fut premièrement publié sous l’anonymat, comme tous ses autres romans. L’oeuvre La Princesse de Clèves est un roman classique précieux, c’est-à-dire un roman qui conte une histoire d’amour, mais c’est notamment un roman historique car les personnages sont pour la plus part des personnes faisant partis de la cour d’Henri II. Nous pouvons quali?er La Princesse de Clèves de roman d’analyse, car tout au long de l’oeuvre l’analyse psychologique des sentiments sera fait. Nous allons étudier un extrait de cet oeuvre, dans lequel Monsieur de Nemours succombe à sa passion et vole un portrait de Mme de Clèves. A la suite de cela, le portrait est recherché et l’ironie du mari fait culpabilisée Mme de Clèves. Les trois mouvements du texte sont en premier lieu le vol du portrait, puis l’embarras de Mme de Clèves pour en?n ?nir sur la fuite de Monsieur de Nemours et la recherche du portrait. Le vol du portrait de Madame de Clèves est un acte qui révèle l’amour que lui porte Monsieur de Nemours. On remarque dans le premier mouvement du texte la personnalité de monsieur de Nemours. On voit d’ailleurs dans la première ligne « Il y avait longtemps », un connecteur temporel révélant l’envie de Monsieur de Nemours qui date du passé. L’amour que porte ce monsieur n’est pas nouveau. Ce connecteur temporel insiste d’ailleurs sur cette idée. Le narrateur dans ces premières lignes est omniscient a?n d’insister sur le désir de monsieur de Nemours, comme si ce désir était à la fois connu de tous, mais qu’il s’en cachait. La folie amoureuse de cet homme ne recule devant rien, même devant un vol. L’emploi d’un verbe (« souhaitait » l1) qui correspond au désir, montre notamment l’amour que cet homme porte. Le désir de posséder cette femme l’habite, mais nous nous apercevons que pour lui, posséder un portrait, est déjà un acte très important. On remarque d’ailleu...

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