L'Histoire Culturelle de la France au XXème siècle

« la diffuse.

On observe une volonté «de faire rayonner la culture française dans le monde».

La culture se démocratise ainsi apparaissent les maisons de la Culture partout en France ce qui montre également que ce ministère se soucie du déséquilibre entre Paris et la province.

Malheureusement seule une dizaine voient le jour.

Le budget dédié à la culture est nettement augmenté avec Jack Lang.

Ces changements et les directions prises par le gouvernement sont parfois vivement critiquées car ils ont tendance à nourrir l'idée d'une exception culturelle française.

On observe de nouvelles consommations culturelles tout au long du XXème siècle. Tout d'abord les médias évoluent et innovent.

La radio devient un média de masse divisé entre secteur privé et secteur publique.

L'édition connaît une mutation, les formats des livres deviennent plus pratiques ce qui est une grande réussite et qui permet un achat massif.

De nouveaux programmes apparaissent dans le domaine télévisuel.

Ils ont pour but de distraire, d'informer et d'éduquer.

Malgré toutes ces bonnes intentions la télévision reste un média peu regardé.

La télévision est un outil qui représente bien l'individualisation des pratiques culturelles le spectateur devient acteur et choisi individuellement ses programmes. Dans les arts, on observe plusieurs caractéristiques.

Tout d'abord, le désir de faire intervenir les artistes dans les espaces urbains permettent la création du «street art».

Les lieux s'ouvrent, l'artiste se déplace dans la ville et ne reste pas cantonné à exposer dans un musée.

La toile n'est plus son seul support. On observe aussi une nouvelle manière de regarder l’œuvre d'art, on ne flâne plus on balaye les œuvres.

Le cinéma devient une pratique culturelle de premier rang, plus populaire que les autres arts, il attire et rassemble.

On observe également une américanisation des films diffusés en France, «le film américain fascine». Les goûts évoluent, ils s'uniformisent petit à petit et se banalisent.

Les mœurs changent, on observe une libération des corps des femmes, une émancipation ainsi qu'une libération féminine.

On constate également qu'une certaine nostalgie du temps passé vient s'installer au fil des années et vient s'opposer à la vitesse des sociétés industrielles.

On est à la recherche d'une authenticité, à la poursuite de racines.

Ce vif engouement pour le passé est caractérisé par par exemple les journées du patrimoine. Nous pouvons conclure que l'histoire culturelle est indissociable de l'histoire sociale.

La culture évolue en fonction des différents régimes politiques, des mouvements sociaux ainsi que du changement des mœurs.

il faut passer par la représentation pour comprendre les sociétés passées. Selon moi, l'auteur utilise trop de références qui empêchent parfois de suivre le cours de sa pensée.

La lecture n'est pas linéaire et fluide, il faut relire plusieurs fois le même paragraphe pour comprendre les propos et les idées qu'elle veut mettre en avant.

Cette réflexion est surtout valable sur le début de l'ouvrage lorsque cette dernière définie le terme de culture ainsi que l'histoire de l'histoire culturelle.

La longueur des phrases peut justifier cette remarque ainsi que l'utilisation d'un vocabulaire soutenu : «Aussi voit-on émerger quelques traits notables : progrès techniques, scientifiques et industriels, marqués par le triomphe de la Fée. »