Les Faux-Monnayeurs le thème de l'amour
Publié le 15/09/2018
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Effectivement, l'auteur nous montre dans plusieurs et différents cas que l'amour ne dure qu'un temps : prenons l'exemple de Bernard et de Sarah qui n'ont eu qu'une relation physique ou encore de Vincent et Laura,qui leur amour n'a duré que le temps d'un séjour : à l'hopitâl de Pau et il n'en pas fallu longtemps au jeune Moulinier pour tomber dans les bras de Lady Griffith. De fait, si nous en venons à la relation Vincent/ Griffith (Lilian pour les intimes), car si tout n'était que pure passion au début de leur relation, ce ne fût plus le cas par la suite. En guise d'exemple, dans la lettre que Mme Griffith a envoyé à Mr de Passavent (chapitre 11, partie 3, p314) : « Grand miroir de mon désespoir... Et savez vous à quoi je me suis occupée dès lors ? A haïr Vincent. » Enfin pour en venir au caractère tragique de l'amour, nous pouvons l'illustrer avec toujours la même relation : Vincent / Griffith puisque le Moulier finît par la tuer. Le caractère funèbre de l'amour conitnue encore à se prouver lorsque Boris , pourtant seulement âgé de treize ans, se suicide par la faute de ses camarades. Dès lors, son grand père devient fou. Mr de la Perouse d'ailleurs avant de connaître son fils voulait à tout prix le voir avant de se donner la mort ce qui ne fît pas lorsque Edouard lui ramener son petit fils de Saas-Fée. Ainsi, nous avons ici l'amour d'une grand-père pour son petit fils, l'amour est à la fois beau et fatal. Il est beau car si Mr La Perouse ne s'est pas donner la mort finalement, c'est de par son amour son petit-fils cependant l'amour est également fatal car il peut mettre dans tout les états quand on le perd. En guise d'exemple la réaction du grand père quand Boris succombe au tir du revolver : « La Perouse comprit et senti aussitôt un grand froid comme si le sang figeait dans ses veines. Il voulût se lever, courir à Boris, le retenir, crier... » (p374). Ainsi, Georges se sentant coupable du meurtre de Boris, s'en ai retourné à sa mère Pauline qui pensait l'avoir perdu et qui entre temps était avait perdu la tête et ne se focalisait que sur Georges de par ses attitudes plus que étranges, ; « Lorsqu'il revint ce soir chez ses parents, il se jeta dans les bras de sa mère et Pauline eut un élan de reconnaissance vers Dieu, qui , par ce drame affreux, ramenait à elle son fils ». Finalement, il a fallu un drame tragique pour que Georges se rend compte de la gravité de ses actes, laissant une mère soulagé que ''récupérer'' son fils. Enfin, si nous avons évoqué en quoi le thème de l'amour évoqué dans ce chef-d'oeuvre est éphémère et peut devenir tragique, il peut aussi s'averer malsain. En guise d'illustration, la relation de Edouard et Olivier : leur jalousie à tout deux,
lorsque Olivier reçoit la lettre de Bernard lui certifiant qu'il est a Saas-Fée avec son oncle e

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réciproque tels que celle entre Laura et Edouard, Laura et Vincent , puis Laura et Bernard.
D'ailleurs, la
non reciprocité des sentiments de Bernard à l'égard sa belle le pousse à s'en retrouner vers une relation
physique avec Sarah, la soeur de Laura.
Dans cet exemple, l'amour n'est pas autant vu comme « tout beau »,
« tout rose » car Bernard ne pouvant pas avoir l'amour de Laura, faiblît devant sa sœur comme pour
« combler » son vide, ce qui est de mauvaise foi et témoigne que l'amour n'est pas toujours sincère et qu'il
est d'une complexité sans précedant.
De surcroît, si André gide pense que l'amour est complexe , il pense aussi qu'il est éphémère et qu'il
peut même être malsain dans certains cas ou encore devenir tragique à un certain niveau.
Effectivement,
l'auteur nous montre dans plusieurs et différents cas que l'amour ne dure qu'un temps : prenons l'exemple
de Bernard et de Sarah qui n'ont eu qu'une relation physique ou encore de Vincent et Laura,qui leur amour
n'a duré que le temps d'un séjour : à l'hopitâl de Pau et il n'en pas fallu longtemps au jeune Moulinier pour
tomber dans les bras de Lady Griffith.
De fait, si nous en venons à la relation Vincent/ Griffith (Lilian pour
les intimes), car si tout n'était que pure passion au début de leur relation, ce ne fût plus le cas par la suite.
En guise d'exemple, dans la lettre que Mme Griffith a envoyé à Mr de Passavent (chapitre 11, partie 3,
p314) : « Grand miroir de mon désespoir...
Et savez vous à quoi je me suis occupée dès lors ? A haïr
Vincent.
» Enfin pour en venir au caractère tragique de l'amour, nous pouvons l'illustrer avec toujours la
même relation : Vincent / Griffith puisque le Moulier finît par la tuer.
Le caractère funèbre de l'amour
conitnue encore à se prouver lorsque Boris , pourtant seulement âgé de treize ans, se suicide par la faute de
ses camarades.
Dès lors, son grand père devient fou.
Mr de la Perouse d'ailleurs avant de connaître son fils
voulait à tout prix le voir avant de se donner la mort ce qui ne fît pas lorsque Edouard lui ramener son petit
fils de Saas -Fée.
Ainsi, nous avons ici l'amour d'une grand-père pour son petit fils, l'amour est à la fois beau
et fatal.
Il est beau car si Mr La Perouse ne s'est pas donner la mort finalement, c'est de par son amour son
petit-fils cependant l'amour est également fatal car il peut mettre dans tout les états quand on le perd.
En
guise d'exemple la réaction du grand père quand Boris succombe au tir du revolver : « La Perouse comprit
et senti aussitôt un grand froid comme si le sang figeait dans ses veines.
Il voulût se lever, courir à Boris, le
retenir, crier...
» (p374).
Ainsi, Georges se sentant coupable du meurtre de Boris, s'en ai retourné à sa mère
Pauline qui pensait l'avoir perdu et qui entre temps était avait perdu la tête et ne se focalisait que sur
Georges de par ses attitudes plus que étranges, ; « Lorsqu'il revint ce soir chez ses parents, il se jeta dans les
bras de sa mère et Pauline eut un élan de reconnaissance vers Dieu, qui , par ce drame affreux, ramenait à
elle son fils ».
Finalement, il a fallu un drame tragique pour que Georges se rend compte de la gravité de ses
actes, laissant une mère soulagé que ''récupérer'' son fils.
Enfin, si nous avons évoqué en quoi le thème de
l'amour évoqué dans ce chef-d'oeuvre est éphémère et peut devenir tragique, il peut aussi s'averer malsain.
En guise d'illustration, la relation de Edouard et Olivier : leur jalousie à tout deux,
lorsque Olivier reçoit la lettre de Bernard lui certifiant qu'il est a Saas -Fée avec son oncle et qu'ils
dormaient tout deux dans la même chambre: « dans la même chambre, se répétait-il et l'abominable
serpend de la jalousie se déroulait et se tordait en son coeur » (chapitre 1 partie 2) ou encore lorsque au
chapitre 6, partie 2, Bernard reçoit la lettre de Olivier en vacances en Corse et que le jeune Moulinier la
tend à Edouard : « Tout ce que Olivier racontait si complaisemment de Robert l'indignait et achevait de le
lui faire en haine » (p211).
Ainsi dans ce dernier exemple, nous pouvons facilement deviner que L’écrivain
Edouard est amoureux de son neveu Olivier Molinier, mais c’est Bernard, l’ami d’Olivier , qu'il prend en
tant que secrétaire alors que Olivier lui est pris en charge par Robert de Passavent.
Finalement c'est lorsque
que le lecteur assiste au moment ou Olivier passe la nuit chez son oncle, que la situation devient des plus
étranges.
En effet la relation que André Gide nous présente là est malsaine, étant donné l'amour entre
l'oncle et un neveu est impossible pourtant Pauline Molinier, ayant deviné les relations que son fils.
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