Les fausses confidences

« Texte n1 Les fausses confidences, Marivaux I. 2 mouvements : la question de l’argent, (la question de l’amour) Le texte commence par un é brève présentation d’une femme avec le démonstratif cette femme ci qui crée un d’effet d’attente pour le lecteur.

C’est une femme très fortunée comme le prouve les hyperboles tout ce qu’il y’a de mieux et une grande charge dans les finances. Le portrait de la dame est valorisant contrairement à Dorante ce dernier ce dévalorise en utilisant l’anaphore je cite moi qui ne suis rien, moi qui n‘est point de bien l3-4. Il met en avant sa pauvreté.

Dorante vie t d’exprimer sa crainte face a la différence de fortune entre Araminte et lui.

Dubois oppose l’atout de son physique avantageux votre bonne mine et voilà une taille qui vaut. Il assimile avec humour position sociale et qualité physique de façon à rassurer Dorante.

L’hyperbole il n’y a point de plus grand seigneur que vous l7 mélange beauté et rang sociale comme si la beauté implique forcément un rang social.

Dubois toit en vouvoyant dorante lui donne des ordres tournez vous l5 et allonsy l6. Dubois devient un confident qui rassure son maître. L’impératif est déjà le signe qu’il va diriger la pièce. Au doute du maître s‘opposée l’assurance du valet.

La répétition de l’adjectif infaillible renforce par l’adverbe absolument marque une immense assurance qui ne doute pas un instant d’elle-même jusqu’à se projeter dans l’intimité des couples il me semble que je vous vois déjà en déshabiller l8-9.

Face aux doute de Dorante exprimer par la phrase nominal exclamative quel chimère ! Il renforce sa vision de l’avenir. Le valet est sur de lui avec la tournure d’insistance oui je le soutiens.

Le présent est utilisé lorsque Dubois imagine une scène futur vous êtes actuellement dans votre salle. Le possessif ainsi que les compléments circonstanciels font de Dorante le propriétaire des lieux.

Avec le plus grand réalisme Dorante lui oppose le revenue chiffré d’Araminte.

Dubois la met en évidence avec humour ah vous en avez soixante pour me moins II. La question de l’amour Dorante continue à argumenter sur l’issue incertaine du stratagème mais en remplaçant l’objection social sur l’argent par celle plus psychologique sur le tempérament raisonnable d’Araminte renforcer par l’adverbe extrêmement qui l’oppose implicitement a la passion.

La question suivant l’ordre d’une déclarative sert aussi bien d’une déclaration aussi bien a l’exposition que l’expression des doutes Dorante. Il exprime sa passion avec ferveur dans la phrase je l’aime avec passion l19.

Il exprime également la cause de son angoisse je cite ce ce qui fait que je tremble. Dubois continue a lui exprimer sa certitude du succès a travers l’antithèse dans le parallélisme tant mieux pour vous, tant pis pour elle l16.

Puis il décrit au futur le combat que l’amour propre de sa maîtresse va mener contre l’amour : on note la présence d’un groupe ternaire des trois principales elle se débattra tant, elle deviendra si faible,.... »