L’éducation des femmes au XVII et au XVIII
Publié le 25/02/2024
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«
L’éducation des femmes au XVII et au XVIII
« La femme a le droit de monter à l’échafaud elle doit avoir aussi celui de monter à la tribune.
»
Ceci est une citation d’Olympe de Gouge de son oeuvre de 1792, « la déclaration des droits de la
femme et de la citoyenne », elle est une pionnière des combats féminins et pour la lutte pour
l’égalité des sexes.
Cette période début vers la n de l’humanisme, et ainsi les idées d’erasme ont marqué leurs
temps.
Nous pouvons par conséquent nous pouvons faire un lien être le savoir et la religion
comme nous le démontre l’oeuvre de Rabelais, Gargantua.
Cette période englobe aussi la
révolution française qui évoque les droits des hommes mais laisse un peu de coté la condition
des femmes.
Le XVIII marque aussi l’essora de la science
Ainsi, comment le processus de l’alphabétisation des femmes s’est il mis en place au XVII et au
XVIII siècle ?
Nous verrons dans un premier temps, l’alphabétisation tardive et des femmes peu considérées,
puis une vie publique comme délivrance et en n l’ingéniosité pour l’ évolution des conditions.
1)L’alphabétisation tardive et des femmes peu considérées
A) une éducation genrée
La femme au XVII comme au XVIII fut considéré comme le sexe faible.
Son rôle était celui d’une
subordonnée et elle n’était vu que comme une mère, une lle ou une épouse.
L’éducation des
femmes était di érente de celles des hommes, celle ci était basée sur le chant, les danses, la
religion, se tenir en société.
Ainsi le « sexe faible » devait aussi se soumettre, apprendre a sou rir
et ne pas emmagasiner trop de savoirs, pour limiter leurs esprits critiques et ne pas remettre en
cause leurs rôles dans la société.
Ainsi Rousseau, dans Elle et l’éducation dénonçait bien cela
« Ainsi l’éducation des femmes doit être relative aux hommes.
B) un rôle faible international, touchant chaque milieu
En e et en Italie en 1789, 12% des femmes ne savent pas lire et une grande majorité des
françaises ne savent pas signer le registre de mariage.
Les milieux aisées sont plus axés sur
l’éducation, et les femmes en béné cient donc beaucoup plus qu au niveau du Tiers Etat.
Mais,
prenons le cas d’Anne d Autriche, qui fut la mère de Louis 14 ayant vécu de 1601 à 1666, son titre
prestigieux ne garanti pas pour autant son libre arbitre.
Ainsi les femmes meme avec un titre
prestigieux n’étaient pas pas pour autant considérés comme des individus.
Par conséquent celles
ci étaient éloignées des fonctions sociales.
C) le fort impact de la religion sur l’éducation des femmes
Les femmes devaient se comporter comme des bonnes chrétiennes et sont souvent mis a l’écart
des institutions.
L’église catholique comme nous l’avons vu précédemment ne veut pas détourner
les femmes de leurs devoirs.
Mais au XVII, les pays protestants accordent le droit aux femmes de
pouvoir lire la Bible.
Ainsi, nous pouvons constater également la création de couvents, premières
écoles féminines et des couvents qui participent a la divulgation de la connaissance chez les
femmes.
Ainsi au Nord de l Europe les femmes sont d’abord plus alphabétisées qu au Sud.
2) Une vie publique comme délivrance
A) une liberté accrue et émancipation
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Au 17eme siècle les femmes prennent de nouvelles libertés de leurs propres chefs.
Ainsi au
17eme les « lles de lumieres » regroupent des femmes de mobilisant et défendant des causes
égalitaires.
C’est aussi durant cette période qu’il y a un essort des....
»
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