lecture linéaire: Victor Hugo Pauca meae (livre 4)

« Texte 7 Victor Hugo Introduction : mort Léopoldine en 1843 / Pauca meae (livre 4) = quelque vers pour ma fille ou bien le peu qui reste de ma fille / souvenir joyeux, regret, la douleur / la poésie la rend vivante a jamais 1er mouvement : Comment le bonheur lié à sa fille est-il représenté ? (3 procédés ) 2eme mouvement : Comment est-elle mise en valeur (3 procédés) 3eme mouvement : Comment c’est quelque vers forme une hypotypose (3 procédés) 4eme mouvement : Comment la douleur appraît elle soudain (3 procédés) Victor Hugo écrit les contemplations, qui est divisé en 2 parties « Autrefois » et « Aujourd’hui » et la transition s’effectue en 1843 année ou sa fille Léopoldine c’est noyé accidentellement dans la seine.

Cet évènement a marqué Victor Hugo qu’il a appris dans le journal.

Cet évènement a aussi marqué les œuvres poétiques car dans le livre 4 « Pauca meae » est consacré à sa fille.

Le poème elle avait ce pli écrit en novembre 1846 évoque un souvenir lié à léopoldine. 1er mouvement : 1) Pronom de la 3 éme personne utiliser dès le début , on se doute que cela va être un hommage , vers 2 l’indication ma chambre renvoi a l’autobiographie au domaine personnelle , qui permet de mettre ce-elle pour l’époldine , au vers 1 l’indication temporel établie d’emble une chronologie , et qui parle sur l’image du début de la vie , il y a plusieurs enjambement , vers 1 jusqu’au vers 4 , et des vers 5 a 7 , qui évoque la vitalité , la jeunesse de Léopoldine, champ lexical de l’Energie du mouvement , venir (vers 2) , entrer(v4) au vers 5 prenez toujours au vers 5 ouvrer s’asseye toujours au vers 6 (riait déranger) et au vers 7 s’en aller , son père peut relever des verbes qui sont et représente l’attente et l’observation , vers 3 attendre , il lui transmet toute cette énergie , vers 3 comparaison , entre sa fille et un rayon du soleil ,métaphoriquement sa fille représente les veille des journée , comme le montre l’association du monde , et le rayon au vers 3 qui représente l’Léopoldine , adjectife chaque au vers 2 montre la répétition d’un bonheur qui se diffuse et qui est souvent présent , il y a tout un champs lexical de l’espérance « rayon attendais, espère » vers « et « oiseau » tout se champs lexical est mélioratif.

Il y a un mélange des vers 3 à 4 puisque le pronom personnel « je » apparaît (V3) et c’est lui seul qui est associé. »