Lecture cursive Olympe de Gouges

« Lecture cursive : Olympe de Gouges, Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, 1791. (Préambule) Introduction La déclaration des droits de la femme et de la citoyenne a été écrit en 1791 par Olympe De Gouges.

Cette déclaration a été publié après la révolution Française et la prise de la Bastille.

Olympe De Gouges est une révolutionnaire et une partisane d’une monarchie constitutionnelle.

Elle défend l’égalité entre les hommes et les femmes, l’abolition des privilèges et combat l’ancien régime.

L’objectif de cette déclaration et de dénoncer le fait que la révolution oubliait les femmes et de remettre en ordre le projet d’égalité et de liberté.

L’extrait que nous allons étudié introduit les 17 articles des droits et des devoirs de la femme.

C’est une réécriture, elle réécrit la déclaration des droits des hommes et du citoyen et propose la déclaration des droits des femmes et de la citoyenne.

Elle s’adresse à 4 interlocuteurs : la Reine Marie-Antoinette, les Hommes, l’Assemble Nationale et les femmes.

Olympe De Gouge espère influencé sur la rédaction de la constitution. Je passe à présent à la lecture.

(LECTURE) Maintenant que la lecture est terminé, je pose la problématique.

Nous nous demanderons : En quoi ce « préambule » défend t-il les droits de la femme ? Pour répondre à cette question, j’étudierai le texte en 3 mouvements : Tout d’abord, le premier mouvement qui donne une cadre constitutionnelle à la déclaration ; Ensuite le deuxième mouvement qui est une réécriture de la déclaration des droits de l'homme et du citoyen et enfin le troisième mouvement qui réclame la reconnaissance des droits de la femme et qui annonce les articles qui posent ces droits. 1er mouvement : En premier lieu, nous constatons que cette déclaration est réécrit au féminin grâce à l’énumération suivante « les mères, les filles, les soeurs ».

Ce début de paragraphe offre un cadre constitutionnel au lecteur. 2eme mouvement : En second lieu, le deuxième mouvement part d’une observation fait part Olympe de Gouges à l’aide du verbe « considéré » qui va servir pour son argumentation ; il est suivi d’une énumération des verbe « ignorer, oublier, mépriser » qui se dégrade ce qui renvoie à la place des femmes dans la société.

L’adjectif « seule » montre que ce sont les femmes qui sont les principales causes du malheur de l’ancien régime.

Pour Olympe De Gouges la femme n’a aucun droit d'égalité et c’est ce qui corrompt le gouvernement, le pouvoir politique et corrompu.

Le pronom personnelle « elles » reprend le sujet de la phrase précédente, cela concerne toutes les femmes dans tous les statues sociaux ; il est suivi du verbe résoudre qui montre la détermination et la force des droits de la femme.

La gravité de la situation est démontré par l’adjectif insistant « solennel » qui est utilisé pour marquer les esprits et pour réussir à prendre au sérieux Olympe De Gouges.

L’égalité entre les hommes et les femmes est prouvé légitime et évidente grâce à l’énumération des adjectifs « naturels, inaliénables et sacrés ».

Ce deuxième mouvement répète deux fois l’anaphore « afin que » qui a chaque fois propose un nouvel argument.

Olympe de Gouges souhaite que « cette déclaration constamment présente à tous les membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leur devoirs » ce souhait désigne simplement la société et montre que « tout le monde » doit être concerné.

On remarque deux adverbes « constamment » et « sans cesse » qui possède une nuance temporelle montre que cette déclaration doit être tenu sur la durée ; Olympe de Gouges écrit pour les générations futur.

Le parallélisme « pouvoir des femmes » et «.... »