Le rôle des femmes dans l’ascension sociale de Bel-Ami.

« Rachel la prostituée, l’union de George et Mme Forestier, Mme Walter et enfin le mariage entre George et Suzanne.

A la fin du roman, Madame de Marelle restera la maitresse de George. Le 3eme rencontre importante de Duroy sera Virginie Walter, la femme de son patron, qui deviendra sa 2em maitresse.

C’est une proie facile pour Bel-Ami malgré sa réputation de femme honnête qui ne trompe pas son mari. Elle sera la maîtresse acharnée, maladroite, fatigante et cependant sincère dans sa souffrance de femme trompée. Mais sera tout de même utile à George car elle le fera passer de petit reporter à chef des Echos.

Au départ de leur rencontre Mme Walter n’ose pas l’appeler « Bel ami » car elle est timide mais elle n’est pas insensible à son charme.

En effet, lorsque celui-ci lui déclare son amour, elle résiste mais on sent qu'elle est prête à craquer.

Lors de leur rencontre, elle lui avouera qu'elle l'aime depuis plus d'un an en secret.

Virginie tombera folle amoureuse de lui mais George se lassera vite d’elle à cause de sa maladresse et de son comportement de « gamine ».

En effet George à une nette préférence pour Mme de Marelle car elle arrive à allumer son désir contrairement à Mme Walter.

Elle devient pesante aux yeux de Bel-ami lorsqu’il la repousse tandis qu’elle s’acharne à l’aimer.

Jalouse et triste du comportement de son amant, elle se vengera et enroulera un de ses cheveux autour de chaque bouton du gilet de Duroy mais cet acte provoquera leur rupture.

Madame Walter reste malgré tout amoureuse de Duroy et elle prendra très mal son mariage avec sa fille.

Ce mariage la détruira physiquement et moralement.

A la fin du romain Mme Walter n’entretient plus aucune relation avec Duroy. Enfin apparait Suzanne, la fille de Madame Walter mais aussi la dernière femme dont « Bel-ami » se servira pour monter dans l’échelle sociale.

Suzanne est considérée comme une « marionnette de chair » par George à cause sa beauté mélangé à sa naïveté.

Elle représente la jeunesse et l’innocence dans ce monde malsain.

Suzanne amuse George par ses « drôleries ».

Ils s’entendent très bien, ils aiment parler ensemble et se moquer des autres.

Entre eux naît une " intimité fraternelle " et elle accepte de faire tout ce qu'il lui demande.

Elle est amoureuse de lui mais refuse de lui avouer à cause de sa femme.

Lorsque celui-ci sera divorcé, elle fera tout pour se marier avec son ami.

Elle se laissera même enlever par lui.

Elle se donne à Duroy mais ne se doute pas que celui-ci l'a sûrement épousée à cause de sa fortune de 10 millions de francs qui lui permettront de monter encore socialement.

Le roman se finira lors de leur mariage.

Les femmes victimes et les femmes complices. Victimes Mmes : Forestier, Walter, Rachel (elles ont été exploitées par George) Complices Mmes : Forestier Suzanne ( après victime ) Marelle Conclusion Nous pouvons conclure que les femmes dans bel -ami ont été très importantes, ce sont bien elles qui ont fait monter socialement Duroy, elles lui ont servit de « levier ».

Beaucoup on été victimes de son charme et de son éloquence cependant une seule n’a pas servit à Duroy c’est Mme de Marelle ; C’est la seule femme que George aura aimé sincèrement et dont il ne se sera pas lassé tout au long du roman.. »