Le nain jaune de Pascal JARDIN (commentaire)

« père par une métaphore ; il s'identifie lui-même à un frelon « j’ai le so uvenir d’avoir été un frelon » (l .28) qui aurait besoin des essences d'un acacia qui serait son père, pour vivre, se nourrir.

A la ligne 15 « je suivais… »Il nous fait comprendre que son père était son point de repère, comme l'étaien t les pierres du petit poucet « le bruit de leur causerie que je ne comprenais pas tombaient vers moi comme les cailloux blancs chers au petit poucet ».

il se présente t oujours comme quelqu’un de petit.

L’auteur montre son père comme un être qui a occupé une grande place dans ca vie « Nous étions toujours ensemble » , un être qu’il aurait voulu mieux connaitre « une moitié de moi -même qui court après une ombre qui ne revie ndra plus.

».

Avec ce décès, l'auteur a perdu une partie de son identité.

Il insiste en répétant certains mots « une moitié, une moitié … » ( l.37) .Avec ce texte, il conserve la mémoire de son père, qui restera une figure marquante de son passé « je suis d evenu orphelin à plus de quarante ans.

»(l.31) E n écrivant ses souvenirs d’enfance, l’ auteur se rappelle qui était son père et les liens qui le rattachent à lui à jamais.

C’est aussi un moyen pour lui de revivre de bons moments de son enfance.

A travers son père il comprend comment il s’est lui aussi construit.

Il revit les souvenirs qui lui ont permis de découvrir à la fois son père et lui -même.

De nombreux auteurs comme Pascal Jardin ont écrit des autobiographies ou le récit de leur mémoire.

Marcel Pagnol l’a fait dans en racontant ses souvenirs d’enfance dans « la gloire de mon père » et « le château de ma mère » qui ont donné lieu plus tard à des films.

Alexandre Jardin, fils de Pascal, qui est lui aussi devenu un écrivain, a écrit également une aut obiographie sur son père, « le Zubial » .. »