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Le malentendu, scène I, acte I Albert Camus scène1, acte 1: scène d'exposition: mise en place des personnages

Publié le 09/09/2018

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camus

La notion d'horizon, de liberté apparait. Le bonheur est associé à la mer. La mer s'oppose à l'absence d'horizon.

L'idée de sourire va avec celle de bonheur \" ce jour là, vous me verrez sourire\"-ligne 54

 

Martha est motivée par un but.

Anaphore: \" c'est pour cela qu4'il ne faut pas avoir peur des mots...\"

-ligne 56-57

 

L'enjeu de la pièce se met en place.

-\"bien s'occuper de lui\" cela signifie bien accomplir le meurtre

-ligne 57

Albert Camus dit que \"c'est un théâtre de l'impossible\".

Il y a une portée philosophique qui se met en place dans ce début de scène. Le problème sur le langage est confirmé par la réplique de la mère puisque Martha va lui dire\" vous a t'il parlé longuement?\"

-ligne 62 \"de quel air vous a 't il demandé sa chambre?

-ligne 63: la mère répond\" je ne sais pas, je ne vois pas et je l'ai mal regardé\";

Les actes dans cette scène d'exposition vont se dérouler dans le silence et dans l'absence d'une communication générale.

 

 

 

Conclusion:

C'est une scène d'exposition qui joue sur la curiosité des spectateurs avec des mystères, des suspens, des tensions, des jeux de silence / regards (didascalies) qui accentuent les tensions qui sont présentes

camus

« lecteur. Insistance sur ces 2 notions: il reviendra seul, ligne 6 et il est riche, ligne 7, Il ne s'est pas inquiété du prix.

( il est seul et riche) On observe un enchaînement formel: -enchaînement qui se fait par la forme et qui confirme la mise en valeur des deux thèmes Chiasme: -riche et seul, ligne 8 -seul et riche Tout ceci instaure un climat étrange, inquiétant, une complicité entre ces deux femmes -ligne 57 et 67: "nous revenons à la notion d'argent, s'il est riche, ma liberté commencera" -ligne 65: idée de la mort et du meurtre. Le climat inquiétant se confirme, il y a du suspens.

On peut dire que leur complicité est aussi confirmée par la brièveté des répliques. Les phrases sont courtes.

Elles ont l'habitude, elles se connaissent.Il s'agit d'un drame policier, elles établissent le portrait de l'homme qu'elles projettent de tuer.

On note la répétition du mot "crime" ligne 69 Nous avons bien affaire à des meurtrières: ligne 64, "par expérience". Le côté mystérieux est accentué : on ne sait pas comment elles vont procéder. II Qui sont ces femmes? La mère: Elle n'est plus très jeune: -elle voit mal, ligne 63 " je vois mal" -"elle est fatiguée", ligne 16, - "je voudrais me reposer", ligne 16, -"non, c'est un -rêve de vieille femme", ligne 22-23, -"à la fin d'une vie", ligne 29. »

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