Le curé et le mort

Jean de La Fontaine critique les institutions religieuses en s'inspirant d'une anecdote que rapporte Mme Sévigné dans une lettre qu'elle adresse à la comtesse de Grignan le 26 février 1672. Comment La fontaine s'y prend t-il pour pour faire comprendre aux lecteurs le sort du curé ?

La fable est un genre littéraire caractérisé par des codes assez rigides, mais qui servent à mettre en place toute une stratégie argumentative, basée sur cet idéal: instruire tout en divertissant.

Tout d'abord par un apologue intéressant par son vivant et son dynamisme avec une l’alternance des octosyllabes et les alexandrin,aux rimes variées ( croisées, plates et embrassées) et de nombreux enjambements comme les vers 4 et 5. Dont un schéma narratif mouvementé par les changement de forme de discours et de temps. Tout d'abord le situation initial des vers 1 à 14 où il présente les personnages et la situation, par l'utilisation de l'imparfait «s'en allait «, « était «, « récitait « à fonction narrative, et tout de suite après l'usage soudain du discours direct au vers 15 à 17 «  Monsieur le mort, laissez nous faire, on vous en donnera de toutes les façons ; il ne s'agit que du salaire «