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L'aveu - La princesse de Cléves

Publié le 06/11/2013

Extrait du document

  Le texte que nous allons commenter est extrait de la princesse de clève par Mme de la Fayette en 1672. Dans les pages qui précède cet extrait l’héroïne a pris conscience qu'elle aimait le Duc de Nemours alors qu'elle venait d'épouser le prince de clève. En conséquence, elle, elle décide de fuir a Coulommiers. Le Duc de Nemours part chez sa sœur qui habite non loin du château des clèves, un soir il se perd dans la foret et arrive dans un pavillon. Le Duc de Nemours va assister à un entretien cacher des clèves. On peut se demander si elle a eu tord ou raison de faire cet aveu. Dans une première partie nous montrerons en quoi cette scène engendre une grande souffrance chez les deux personnages. Dans une seconde partie nous montrerons que bien qu'ils s'inspirent la compassion, ils ne nous inspirent jamais de pitié et s'élève au nom de héros.         Voyons dans une première partie en quoi cett...

« aussi la souffrance mais plus par jalousie.

Pour la Rochefoucault «La jalousie est le plus grand de tous les maux», maxime intégrée au texte.

Les deux personnages exige de l'autre de la pitié (2.c-l.6).

Le champs lexical de la douleur est très présent dans le discours du prince. Par ailleurs, le texte suggère les causes de cette souffrance pour le prince.

Il ne devrait pas aimer une femme qui en aime un autre, l'aveu aurait du mettre un terme mais il n'en ai rien, «elle dure encore» (l.51).

Le prince rappelle à sa femme qu'elle ne l'a jamais aimé.

L'aveu renforce la jalousie et l'amour du prince.

La cause de l'amour renforcé du prince est lié aussi à l'estime qu'il a pour elle.

«mourir de douleur» est une hyperbole.

La réaction du prince après l'aveu est un silence prolongé qui traduit la profondeur de sa peine.

Le pathétique culmine à ce moment du texte.   Ainsi Mme de clèves en avouant à son mari qu'elle en aime un autre semble déclencher chez lui une énorme douleur.

On pourrait donc penser qu'elle a eu tord de faire cet aveu.

Pourtant l'aveu ne génère pas que de la souffrance mais il semble renforcer un lien très fort entre les deux personnages.       Axe2:   Voyons dans une deuxième partie en quoi l'aveu les érigent au rang de héros. Tout d'abord le prince peut être qualifié de héros puisque ça réaction reste digne.

On n'observe aucune réaction violente.

La dignité du prince se révèle avec le participe présent et le gérondif (l.34). De plus les deux personnages malgré l'aveu semblent éprouver une estime mutuelle.

L'estime chez un dramaturge comme Corneil est toujours lié à l'amour ( l.43-46).

Le terme d'admiration par l'époux n'est pas employé par la femme.

L'emploie de l'estime donne l'impression que ce sont des personnages Cornéliens qui n'aurait plus que l'estime. Par ailleurs les deux personnages se présentent eux même comme des héros.

La princesse prétend qu'un tel. »

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