L'argumentation indirecte est-elle la stratégie argumentative la plus efficace pour l'auteur et le lecteur ?

« et à persuader en faisant appel aux sentiments et à l’affectivité. Argumenter, c’est aussi tenir compte de thèses différentes des nôtres, avec lesquelles nous allons entrer en discussion dans une délibération, solitaire (monologue délibératif) ou collective (dialogue). L’argumentation indirecte atteint un large public qui accepte « le pacte ».

Les fables sont écrites pour les enfants.

Corneille et Racine étaient des conseillers royaux.

Ils agissaient à travers leurs tragédies, exemple : C’est ainsi que Corneille, Racine, Molière ainsi que tous les moraliste du grand siècle ont fait passer la morale. Pour l’auteur, l’argumentation indirecte à des limites par rapport à la directe.

Certain sujet grave et sérieux ne s’y prête pas.

Et l’auteur ne peut passer par la voie du divertissement.

D’ailleurs une loi et un traité moral, des règles ne présentent pas nécessairement sous la forme directe.

Exemple : Traité sur la tolérance, Voltaire. Pour le lecteur, l’argumentation indirecte à des limites par rapport à la directe.

Le message est forcément moins évident dans l’argumentation indirecte.

Certains lecteurs doivent gaillardement passer à coté du message surtout si « l’enveloppe » est très épaisse pour reprendre le terme de la fontaine dit dans sa préface en fables (1668) : « ces puérilités servent d’enveloppe à des vérités importantes ».

exemple : Contes merveilleux : l’enfant fasciné par ce monde magique perd de vue l’objectif argumentatif.. »