L'absurde dans l'Étranger d'Albert Camus
Publié le 15/07/2012
Extrait du document


«
Son esprit erre au milieu des conversations.
Meursault marche à travers la vie en grande partie
inconsciente de l'effet de ses actions sur les autres.
Meursault est éloigné de plans fixes, des
ambitions, des désirs, l'amour et des émotions en général.
Il a un temps difficile avec des
émotions telles que le regret et la compassion.
Le lecteur voit la nature de sa personnalité dans
les premières lignes du roman: « Aujourd'hui, maman est morte.
Ou peut -être hier, je ne sais pas.
»
Quand il apprend la mort de sa mère par un télégramme, il est détaché, et peut être
considéré comme indifférent.
La mort de sa mère s ert à interrompre le flux de la vie de
Meursault; une vie consacrée à apprécier les choses tangibles.
Il a souhaité qu'elle n'était pas
morte, mais sa mort n'a fait aucune incidence réelle sur sa vie autre que temporairement perturber
son mode de vie quoti dien.
Le malaise dans le bus et l'enterrement chaud ont été causés par sa
mort.
Ni intellectuelle ni émotionnelle, quand sa mère mourut, il ne se sentait pas ni ne manifeste
aucun chagrin.
Meursault est détaché de base des expériences humaines de l'amour et l'affection.
Tout était la même chose pour lui comme lorsque Marie a demandé si l'épouserait et il a dit qu'il
n'avait pas d'importance et que c'était à elle.
Son indifférence, le manque d'émotion et de sa façon
de rendre compte de ses impressions montre les faits peu d'implication dans la société, comme
s'il était un étranger, un spectateur qui doit juger objectivement et c'est de ce que son
éloignement de la société lui être laissé.
Il est un personnage plutôt distrait par son entourage,
comme les gens qui passent et de la nature.
Il se sentirait beaucoup d'irritation chaque fois que le
soleil brillerait rouge et brillante.
Sur un pied irréfléchi sur la plage, il finit par tuer un Arabe.
Meursault a toujours été indifférent.
Son manque apparent d'émotion est ce que les terres lui dans
la détresse dans la salle d'audience, pour que les gens pensent sa nature d'être celle d'un assassin
impitoyable.
Meursault vu le but de la vie vide de sens.
L'idée de l'absurde semble se rattacher à
son sens, inutiles et d' autres mots qui expriment une destination, mais sans les moyens pour y
arriver, et vice versa, mais pas moyen de destination.
Camus ne croit pas en Dieu ni aucune loi ou haute loi universelle qui est associée à
une divinité, qui est le chemin dans la vie.
L'absurde est la vie, une quête pour trouver le sens de
quoi que ce soit au sein d'une réalité sans fin.
Réalité n'a pas de but parce qu'il n'y a pas de loi de
haut, une loi universelle, ni un Dieu.
Par conséquent, cette réalité doit être aléatoire.
Camus veut
nous faire voir ça.
Dans ce monde, coupé à partir d'un sens de Dieu, la société a créé des règles
contraignantes afin que toute personne de les casser ne soit condamné comme un étranger.
Pour
Meursault c'est une insulte à sa raison et une trahison de ses espérances, car Camus, il est
l'absurdité de la vie.
Camus est de renforcera thèse de base qu'il n'ya pas de vérité, que des
vérités, et en particulier, que les vérités de la science et de la religion sont finalement vide de
sens.
Bien sûr, Meursault m ême n'est pas directement au courant de tout cela, sa conscience de
l'absurde est inconscient au mieux, elle colore ses actions.
Mais point de base de Camus reste, les
seules choses réelles sont celles que nous éprouvons physiquement.
Ainsi, Meursault tue l'arabe,
parce que de sa réponse au soleil éclatant, qui s'abat sur lui comme il se déplace vers son
«adversaire» sur la plage.
La mort de l'Arabe n'est pas particulièrement significative en elle-
même: il s'agit simplement d'autre chose qui arrive à Meursa ult.
Dans le roman, Meursault comprend que la mort est un sujet qui ne peut pas être
effacé.
Meursault arrive à la conclusion que la mort est le résultat final pour la vie de chaque
humain.
Pour lui, il n'y avait pas de différence entre la vie et la mort, tout était le même pour lui.
Le roman se termine avec Meursault reconnaissant l'indifférence de l'univers pour l'humanité.
Les dernières lignes font écho à sa nouvelle réalisation: « Comme si cette grande colère m'avait
purgé du mal, vidé d'espoir, devant cette nuit chargée de signes et d'étoiles, je m'ouvrais pour la.
»
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