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LA TRAGEDIE DANS LE THEATRE CLASSIQUE

Publié le 06/07/2010

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theatre

I-            Les caractéristiques d’une tragédie.

 

Personnages

Illustres, légendaires ou réels : héros antiques, bibliques, princes, rois (2 ou 3 protagonistes) + chœur (12 à 15 personnages) chantant.

Epoque

en général, antérieurs à l’histoire : antiquité grecque ou romaine, époque de la Bible.

Lieu

Un pays lointain, le plus souvent des bords de la méditerranée : un palais.

Dénouement

« tragique « : la mort. Les héros sont soumis à des forces qui les dépassent.

Effet sur le spectateur

Inspirer la terreur et la pitié pour le purifier de ses passions : c’est la catharsis (purification en grec).

 

 

II-          Les caractéristiques de la tragédie classique au théâtre

 

Composition                               - 5 actes en vers

 

Règle des 3 unités                       - unité de temps (le temps de l’action ne doit pas dépasser une journée)                  

-      unité d’action (elle découle de l’unité de temps)

-      unité de lieu

 

 

III-       Les principes de l’action

 

Ce travail a été présenté dans un dossier édité par le centre de ressource de l’ENNA – Paris-Nord.

Lecture plurielle et active d’Eliane Navarro – Chastel sous la direction de Marcelle Bilon en 1990.

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« 5- « Au-dessus … cicatrice » : panoramique vertical et contre plongée. è le mouvement du texte donne l'impression de vues, de plans photographiques presque« cinématographiques ». Remarque : Rappeler aux élèves la découverte de la photographie et le goût de Zola pour la modernité. è Les différents « plans », (le mouvement du texte) donnent une impression d'étau, d'enfermement. Quatrième phase : Cours dialogué. 1) Quelle impression le passage produit-il ? Ø impression de noirceur, de misère, de malaise etc. 2) Comment cette impression est-elle créée ? Ø par le lexique, les images. 3) Relevez les champs lexicaux du texte. Ø des couleurs : le noir domine. Ø de la lumière, de l' ombre : l'obscurité est omniprésente, la lumière a du mal à percer. Ø de la décrépitude (jaunâtre, verdâtre, usées, descellées, humidité âcre, crasse, sales, misérablement, poussière etc.…) Ø de la mort : caveau, galerie souterraine, trois lampes funéraires… 4) Relevez les images. Ø « la muraille monte, noire, grossièrement crépie, comme couturée de cicatrices » : comparaison suivie d'une métaphore « couturée de cicatrices ». Ø « On dirait une galerie souterraine vaguement éclairée par trois lampes funéraires ». Ø « laissant échappé des souffles froids de caveau » : métaphore renforcée par le champ lexical de la mort = métaphore filée. è Les champs lexicaux du texte et la métaphore filée donnent un sens au texte qui confirme l'hypothèse de lecture,celle d'un lieu mortifère.

Ce texte est un exemple de description réaliste. Dans le roman réaliste la fonction qui donne un sens au texte est la fonction sémiosique.

Ici se sont les champslexicaux et les images qui donne du sens au texte. TRACE ECRITE DESCARTES. »

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