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La société a-t-elle corrompu les hommes ?

Publié le 02/12/2012

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I. Introduction : L’homme est-il bon naturellement et s’est-il laisser avilir par la société ? Ou bien garde-t-il son innocence en dépit de la vie sociale, des relations entre les hommes ? En d’autres termes « la société a-t-elle corrompu les hommes ? «. Nous nous proposons de discuter cette affirmation en nous basant sur des extraits de penseurs ou d’écrivains tels que Rousseau, Voltaire, Ken Follett ou encore Choderlos de Laclos. II. Thèse :        Tout d’abord, pour Rousseau le progrès rend l’homme craintif, rampant, dégénéré. En effet, l’homme est corrompu par lui-même, par la vie déréglée qu’il mène. Cette vie déréglée s’explique notamment pour Rousseau par la crainte de la mort que l’homme veut freiner. Et pourtant en optant pour une vie peu harmonieuse, l’homme précipite cette mort qu’il veut fuir. Rousseau considère donc que la nature et l’homme doivent entretenir une relation harmonieuse. L’homme ne doit pas accuser la nature des maux qu’il a lui-même provoqué par cette vie déréglée. L’homme est à ce point mal moralement qu’il sera amené à beaucoup souffrir physiquement ! Il va donc vouloir se soigner avec de nombreux remède qui ne vont servir à rien et qui au contraire ne vont qu’empirer les choses. Ceci confirme directement une des devises de Rousseau qui dit « qui ne sait pas supporter un peu de souffrance doit s’attendre à beaucoup souffrir «. Avant l’homme savait pertinemment que son seul remède était le temps !        Ensuite, Rousseau pense que l’homme est corrompu par une société qui propose toute une série de choses qui facilitent la vie de l’homme. L’homme ne sera donc plus se débrouillé seul ! Tout ce confort va le rendre faible et mou ! Pour Rousseau ces choses sont superflues car les premiers hommes ont très bien réussi à s’en passer.        De plus, Rousseau pense que le progrès rend malheureux car ils engendrent l’inégalité et la misère. En effet, le progrès a engendré la propriété privée. Dès que l’homme a commencé a accumulé des richesses, dès qu’il n’a plus vécu en autarcie, l’égalité disparu. L’homme a donc été corrompu par la société car il a été enclin à dominer son semblable jusqu’à en faire son esclave        Enfin, Rousseau pense que tant que l’homm...

«        De plus, Rousseau pense que le progrès rend malheureux car ils engendrent l'inégalité et la misère.

En effet, le progrès a engendré la propriété privée.

Dès que l'homme a commencé a accumulé des richesses, dès qu'il n'a plus vécu en autarcie, l'égalité disparu.

L'homme a donc été corrompu par la société car il a été enclin à dominer son semblable jusqu'à en faire son esclave        Enfin, Rousseau pense que tant que l'homme vivait à l'état nature, il était saint et heureux.        Tout d'abord, Voltaire souligne également à quel point l'homme peut être corrompu par la société du 18e siècle ! En effet, lorsqu'il vit en groupe en groupe, l'homme peut vouloir dominer l'autre jusqu'à en faire son esclave.

Voltaire, étant pour la liberté souligne alors la responsabilité de l'occident.

Voltaire fait alors aussi allusion au commerce triangulaire.

Commerce au cours duquel les Européens partaient en bateau vers l'Afrique avec des verroteries qu'ils échangeaient contre des esclaves.

Ensuite, les négriers traversaient l'Atlantique et on vendait les Noirs devenus esclaves en Amériques.

Voltaire dénonce aussi cette traversée de l'Atlantique qui durait entre un et trois mois.

Les esclaves étaient traités comme des animaux ! Ils étaient séparés de leur famille et étaient entassés les uns sur les autres dans des cabines.

On pense même qu'il y ait eu des actes de cannibalisme ! Voltaire dénonce aussi les conditions de vie dramatiques de ces esclaves : dès qu'ils fuyaient ou se révoltaient, on leur coupait une jambe ou un bras ! (pour dénoncer cette réalité, Voltaire dénonce l'ironie)       Ensuite, pour Voltaire étant déiste, les hommes sont à ce point corrompu qu'ils ne respectent pas la liberté de culte.

Ils endoctrinent les gens.

En effet Voltaire dénonce ici l'inquisition qui est une juridiction spécialisée créée par L'Eglise catholique romaine qui se bat contre l'hérésie.

En effet, tout ceux qui ne respectaient les dogmes du catholicisme étaient excommuniés et soumis à toute une procédure mise en place pour obtenir le repentir des accusés.

On leur mettait la pression moralement par la ruse et physiquement par la privation de nourriture par exemple.

Ensuite on énonçait les sanctions les plus sévères comme l'emprisonnement,... Toujours pour rester dans la sphère religieuse, on voit que dans candide Voltaire dénonce les superstitions au. »

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