La peur de l'autre dans le Rapport de Brodeck
Publié le 20/11/2012
Extrait du document
«
Français, exposé sur Le rapport de Brodeck Charlotte et Irina
Gymnase de la Cité 3m06
Conclusion générale de « la peur de l’autre » :
La deuxième guerre mondiale est un événement historique qui montre la peur de l'autre.
La
peur de l'autre naît, en général, du cœur de nos propres doutes, failles, nos imperfections.
Cette peur n'est que le reflet de notre propre malheur.
L'homme a toujours eu une curiosité
malsaine à découvrir et analyser ce qu'il ne connaissait pas, et la plupart du temps cette
curiosité devient malsaine et destructrice.
La haine raciale se développe en temps de crise,
l'être humain cherche un bouc émissaire afin de canaliser son propre désespoir, sa propre peur
ou encore sa propre honte.
C'est exactement ce qui arrive avec l' Anderer .
L'étranger qui arrive
dans un village qui n'a que trop bien connu l'horreur.
Cet inconnu reflète la peur de chacun, la
peur de perdre, ses biens ou tout simplement la vie.
Brodeck reflète l'horreur de chacun, il
représente la monstruosité de chacun, comment l'être humain peut bafouer ses principes pour
se sauver, ou prospérer.
Ignominie du nazisme s'explique surtout par le fait que la faiblesse
doit être éradiquée.
L'empathie, la peur et la douleur sont par exemple des sentiments qui
rendent l'être humain faible, ou plutôt ce sont des sentiments qui permettent lu recul face à
nos actes..
»
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