la fortune des Rougon passage de la folie de tante Dide
Publié le 21/07/2013
Extrait du document


«
Pascal est très attentif car il dit à son frère de se taire pour mieux observer sa grand-mère.
Zola utilise le nom
commun de moribonde comme pour signaler le début de la mort de tante Dide.
De plus on voit le début de sa
folie car elle dans lieu connu pour elle ( chez elle) mais elle ne reconnaît pas le lieu toute suite.
De plus
l'impression de folie est accentué par l'expression un air de stupeur, un instant muette cherchant à reconnaître
les objets.
Dans cette phrase il y a une sorte de dégradation.
Mais une seule chose l'intéresse c'est le fusil « où
est le fusil ? ».
son petit-fils ( que l'on nomme le médecin car il va se comporter comme tel) le lui donne.
Elle le
retrouve comme si on ramène à une petite fille sa poupée fétiche« poussa un léger cri de joie » « d'une voix
chantante de petite fille » puis elle décrit le sang sur l'objet puis elle se nomme elle même « Ah ! Pauvre, pauvre
tante Dide ! » car elle comprend ce que cela signifie : la mort de Silvère
=> lignes 24 à 47 la prémonition et l'accusation de tante Dide
Là suite à son léger malaise elle change d'humeur ce qui est un signe de folie lorsqu'on change d'humeur sans
arrêt.
Elle revient à la mort d'Eustache Machard.
Puis de nouveau un changement d'humeur cette fois-ci elle
devient agressive ce qui accentue la peur des deux hommes on le voit par les mots acculés, muets d'horreur.
La phrase suivante représente bien la folie car tante Dide est à demi-nue mais ne s'en aperçoit pas.
De plus
l'adverbe affreusement suivi de creusé par la vieillesse accentue la description de la folie.
À la suite vient
l'accusation de tante Dide envers elle qui s'accuse de n'avoir fait que des porté de loup puis envers ses
petits-fils qui les accuse d'avoir tué Silvère.
Elle les représente par des loups donc un animal féroce qui ont
mangé un pauvre enfant, Silvère, mais que cela ne les empêche pas de vivre confortablement « ils vivent
comme des messieurs » puis sans suit des changements d'humeurs « chantait, riait, criait et répétait » de plus
sur une étrange phrase musicale...
une fusillade » amplifie la folie et l'accusation.
À la suite elle redevient une
enfant et Pascal n'est plus le médecin mais une personne ému de voir sa grand-mère sombré dans la folie.
À la
dernière réplique du passage il redevient un médecin
conclusion.
Dans ce passage on nous montre bien la folie, qui est une tare familiale puisque le père d'Adélaïde est mort
dans la folie.
On nous le montre par la peur des deux hommes puis les différents stades par lesquelles passe.
»
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