Kleider Kafka
Publié le 23/01/2016
Extrait du document


«
Maske nicht mehr tragen k ö nnen ist, dass sie nicht l ä nger heucheln k önnen.
Es ist, als ob niemand
wollte die alten Frauen zu sehen , selbst der Erz ä hler durch ihre Haltung gest ört .
Comment à partir de la description de robes, le narrateur présente selon une réflexion rigoureuse la
perception du temps chez les femmes ?
I.
« O
ft » annonce un plan dialectique, pas de généralit é cat égorique.
Cela fait écho au
« Doch » et « Nur ». C’est
également une forme de subjectivit é comme on peut le voir
avec l’utilisation de la premi
ère personne.
Il pr ésente les robes en accumulant les
qualificatifs.
Les robes semblent
être toutes les m êmes.
Elles sont personnifi ées,
tendues sur des corps, qui ne sont plus que des objets, des pr
ésentoirs pour les corps,
des poup
ées. Les robes sont la m étaphore de la femme.
L’auteur introduit sa pens ée,
comme un renversement. Pour lui les robes ne resteront pas comme elles sont, c’est la
premi
ère évocation du temps qui passe .
Le narrateur reprend le mot de pli « Falten »
ce qui r
épond de fa çon parfaitement parall èle au d ébut de la phrase .
De m ême les
ruches sont reprisent pas les termes de « nids de poussi
ères » ; les robes étaient
tendues sur des corps, la peau est tendu
également .
Ce parall élisme permet au
narrateur de d
émontrer son id ée selon une m éthode scientifique.
Les plis qu’on ne
pourra plus lisser sont les rides.
Les rides et la poussi
ère accumul ées symbolisent le
temps qui passe.
Personne ne pourra retirer la poussi
ère, le temps passe de fa çon
irr
émédiable .
Personne n’aura la tristesse d’enfiler les robes signifie, comme la robe
symbolise la femme, que personne ne fera plus attention
à la femme .
Le texte est
jusqu’
à pr ésent construit au futur, de fa çon un peu proph étique.
Le narrateur introduit une rupture avec son « Doch ».
Il passe au pr
ésent.
II.
Apr
ès nous avoir d émontr é de fa çon rigoureuse que personne ne voudrait porter les
robes .
Le narrateur
évoque des jeunes filles qui e font quand m ême . Elles luttent contre la
fatalit
é .
Ces jeunes filles, comme les robes tout à l’heure sont pr ésent ées comme étant
toute les m
êmes .
Le narrateur pr ésente des parties de leur corps . Cela donne l’impression
qu’elles sont d
émembr ées, comme des poup ées.
Les caract éristiques applicables aux
jeunes filles le sont aussi pour les robes .
La phrase commence comme la phrase
pr
écédente, le narrateur reprend le verbe « sehe », comme s’il faisait une simple
constatation.
La robe est qualifi
ée de d éguisement , comme si les femmes se cachaient
sous masque.
Chaque jour, repr
ésente le temps qui passe.
Pourtant, les femmes voient
toujours le m
ême visage, ne voient aucun changement , se voilent la r éalit é derri ère les
robes.
III.
Le dernier mouvement du texte est introduit par « Nur ».
C’est une fa
çon pour lui de
nuancer son analyse pour rester dans la v
érité scientifique. Le soir fait penser à la fin de la
vie.
Le fait de rentrer d’une f
ête peut faire penser à la fin de la jeunesse.
Le visage se.
»
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