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Kasim

Publié le 13/01/2013

Extrait du document

Ella BOUTIER 2nd5 Le périple de Kasim Ils crient dans leur langue et Kasim comprend qu'ils ont besoin d'aide. Il s'approcha d'eux, il faisait encore sombre on ne voyait pas l'horizon. Kasim ne savait pas ce que les hommes recherchaient, ils chassaient l'eau. Alors le jeune homme les rejoignit et un moment plus tard il senti une petite main le frôler il l'attrapa et sans distinguer ce que s'était, il soulevât de toutes ses force, quand il eu réussi à remonter la chose à la surface la lueur de la lampe du passeur vint illuminer le visage d'un nouveau née. Il devait certainement venir de l'embarcation précédente, quelque chose avait mal tourné il allait falloir être prudent. Le passeur mis un bateau à l'eau, la famille à replié sa tente, la mère et les deux fillettes se sont positionner à l'avant du canoë pour éclairer le chemin ,, . Les deux hommes parlant une langue inconnue se sont mis à droite et à gauche pour ramer à l'arrière du bateau, Kasim et le père se mirent au milieu pour ramer eux aussi. L'embarcation pris le large. Il faisait très sombre, de la brume était tombé et on ne voyait pas plus loin qu'au devant de la barque. Il y avait aussi un vent glacial qui sifflait. Les deux fillettes tremblait dans les bras de leur mère . La mère qui tant bien que mal essayer de faire taire le jeune bébé que Kasim lui avait confié tout en éclairant la route. Il paru à Kasim qu'une éternité venait de passer quand il entendit le ronronnement d'une cascade, c'est là que touts ils comprirent, au lieu de traverser le fleuve ils avaient étés emportés par le coura...

« Ils étaient tous là, et d’autres aussi, mais que faisaient-ils ? Ils étaient tous en cercle certain criait, d’autres pleurer.

Kasim et la jeune fille s’approchèrent et il découvrir la mère étendue sur la plage, inerte.

Il fit signe à la troupe de s’écarté. C’est là qu’il pratiqua ce qu’il savait le mieux faire, ce pourquoi il voulait aller en Europe, il voulait sauver des vie, être médecin secouriste était son rêve.

Le réaliserait-il ? « Et un, et deux, et trois, et quatre, et cinq, et six… », La femme se relevât en toussant, il la retournât pour qu’elle puisse recracher l’eau de ses poumons.

Elle resta sur la berge et Kasim lui re-confiât le bébé le temps que lui et les autres hommes aillent chercher de quoi faire un abri avant que la nuit ne tombe.

Le père vint remercier Kasim et il remarqua que l’homme parlait sa langue, celui-ci lui présentât trois autres homme Sébastien qui devait être de son âge, George un peu plus vieux et Pat.

Ils étaient issus de la précédente embarcation mais ils n’avait pas connaissance du bébé. Quand ils revinrent la nuit commencait tout doucement à tomber, Kasim remarqua trois nouvelles femmes certainement celles de Sébastien, Pat et George.

Quoi que Sébastien était jeune.

Ils firent deux abris ! Un grand pour tout le monde et un plus petit bien douiller à l’intérieur du grand pour l’enfant.

Kasim apprit que le nom de la mère était Sandra et celle-ci allait beaucoup mieux et avec les autres femmes elles avaient attrapées des poissons qu’ils firent cuire sur un feu attisé avec le reste de bois.

Kasim avait trouvé une noix de coco qu’il avait réussi à fendre en la jetant sur un rocher, le bébé avait l’air d’aimer ! Le lendemain les femmes et les enfants partirent découvrir où menait le fleuve pendant que les hommes partirent chercher des bois pour faire une nouvelles embarcation, il prirent le reste de leur barque pour faire une voile et Kasim trouva des sorte de liane qui faisait une excellente ficelle ! Et le premier jour le mât et la voile était près et le bateau commençait à prendre forme.

Le retour des femmes appris aux hommes qu’au loin il y avait une grande mer et au loin on voit la terre.

Tous décidèrent de finir la barque le lendemain pendant que les femmes iraient chercher un maximum de vivres.

Il partirait le jour suivant à l’aube pour avoir toute une journée de traverser.

La nouvelles embarcation fût terminer le lendemain, les femmes avait réuni assez de vivre pour deux à trois jours.

Le bébé ne semblait pas perturbé et le lait de coco avait l’air de le satisfaire !Le jour-j était arrivé l’embarcation fût mise à l’eau, et les voilà reparti. On ne voyait presque plus la plage mais la terre au loin ne s’agrandissait pas, elle devait être encore être loin le soleil passât son zénith, puis se couchât.

La lune éclairait beaucoup la nuit ce qui permettait aux hommes de ramer dans une direction normalement correcte.

Mais le vent se levât il devint de plus en plus fort des vagues grandissait, la mer commençait à s’énerver.

Une tempête était né.

Leurs embarcation résistait mais Kasim était inquiet jusqu’à quand aller-t-on tenir ? Quand la tempête se calmerait-elle ? Un vague trop puissante renversa le radeau, Kasim rattrapa le bébé et une fillette à temps, les autres hommes essayèrent de remettre le bateau à l’endroit mais sans y réussir.

Une vague encore plus puissance vint s’abattre sur eux la barque était casser Kassim attrapa une planche pour s’y appuyer les autres. »

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