Kafka: la littérature comme la hache qui brise la mer gelée en nous
Publié le 26/07/2012
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Un peu plus fort qu'un simple sentiment, on pourrait parler d'une chose psychologique car si "la hache brise la mer gelée" il y a forcément un choc entre les deux. La littérature provoque un choc pour mieux nous faire réagit, pour que la réaction soit plus forte. On peut parler tout particulièrement de la nouvelle. Dans un coeur simple de Flaubert, le lecteur va de surprise en surprise par les coups durs endurés par la jeune femme. La littérature provoque donc des sentiments très variés parfois pas encore expérimentés dans la vie réelle, qui nous stimulent et nous transportent dans le monde de l'écrivain.
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