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Je hais les livres; ils n'apprennent qu'à parler de ce qu'on ne sait pas, écrit Jean Jacques Rousseau dans son essai sur l'éducation, Emile. Vous discuterez ce point de vue.

Publié le 05/09/2012

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rousseau

Dans des genres littéraires différents, certains livres m’ont marqué, construits, ont fait naître en moi des réflexions et des interrogations : sur un domaine politique La condition humaine d’André Malraux, dans le monde du théâtre Huit-Clos de Jean-Paul Sarte ou Antigone d’Anouille, qui lui relève aussi d’événement mythologique fondateur, dans un genre fantastique 1984 de Georges Orwell ou bien Moon Palace de Paul Auster, dans un milieu plus poétique Les paradis artificiels de Charles Baudelaire, dans le genre biographie La vie devant soi de Romain Gary sous le pseudonyme d’Émile Ajar ou encore Moi, Christiane F. 13ans Droguée, Prostituée des journalistes Kai Hermann et Horst Rieck qui est un témoignage d’une jeune fille en crise dans le Berlin des années 70-80, dans un domaine de psychologie Le jouer d’échecs de Stefan Zweig, sur la théorie de l’absurde dont Camus était le roi La chute m’a énormément plu, ou encore dans des romans épistolaires j’ai beaucoup apprécié Le cercle littéraires des amateurs d’épluchures de patates de Mary Ann Shaffer et Annie Barrows. Mais je suis par-dessus toute une grande amatrice de polar et thriller, Micheal Connely, Fred Vargas, Manuel Vazquez Montalban ou bien Douglas Kennedy…

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« Les livres que nous utilisons en cours, pour travailler à la maison, sont généralement une source de méthodologie, d’apprentissage thème par thème, de connaissancescar ils nous permettent de comprendre des faits, des évènements, des constituants inhérents à notre vieIls sont là pour mettre en action, en image, par des activités, un chapitre du cours - qu’il soit de mathématique, d’histoire, de français, d’anglais ou autres – pourpermettre à l’élève de réfléchir en autonomie. B.

Les livres d’Histoire ( Antiquité, origines de mon pays ) et les guides touristiques. Les livres d’histoire au sens large mettent en lumière des faits historiques, qui ont marqué l’Histoire par de grandes découvertes ou des évènements qui ont joué unrôle fondateur dans l’Histoire du monde.

Ils sont source d’interrogations car ils mettent en jeu notre passé : d’où nous venons, de qui nous descendons, des actes quenos « anciens » ont posés.

Ils sont un résumé des connaissances que l’Homme a acquises au fil des siècles.Par des guerres, des conquêtes, des découvertes, l’Hommes’est donné une part active dans l’évolution constante de ses connaissances et de sa vision du monde.Les guides touristiques, quant à eux nous permettent de partir à la découverte d’une terre inconnue où nous pouvons être attirés par différentes choses : la cultured’un peuple, sa gastronomie, ses monuments historiques, ses paysages.

Le guide touristique choisi sera donc différent mais il aura toujours comme but de nousamener vers l’inconnu.

Le guide touristique est un récit de voyage fait par quelqu’un qui s’est intéressé à un pays puis qui a décidé de le faire partager.

L’échange deconnaissance est voulu, mais ce récit n’existe qu’en fonction du voyage.

C’est le voyage qui fonde le récit et non l’inverse.

Le réel a priorité sur la fiction, c’est lui leseul maître du texte.

Il témoigne donc d’un souci de vérité, il se doit d’être fidèle à ce qui a été vu par l’auteur lors de son voyage.

Il n’est qu’une observation de laréalité, il répond aux désirs du lecteur d’apprendre quelque chose de concret sur la destination, les sites qui seront visités. C.

Ces voyages que j’ai faits lors de mes lectures. Chaque livre est différent, dans son contenu mais aussi dans la façon de toucher son public, un livre pourra m’avoir énormément plu, me donner envie de le lire etrelire alors que sur une autre personne il n’aurait pas fait l’effet inverse, il aura peut être tellement déplu que cette personne n’aura même pas pu le terminer.

Chacunà une approche différente de la lecture, pour certains c’est un loisir, pour d’autres une corvée, pour d’autres encore c’est un moyen de s’enfermer à double tour danssa bulle alors que pour d’autre c’est un moyen de se laisser aller vers d’autres horizons.Dans des genres littéraires différents, certains livres m’ont marqué, construits, ont fait naître en moi des réflexions et des interrogations : sur un domaine politique Lacondition humaine d’André Malraux, dans le monde du théâtre Huit-Clos de Jean-Paul Sarte ou Antigone d’Anouille, qui lui relève aussi d’événement mythologiquefondateur, dans un genre fantastique 1984 de Georges Orwell ou bien Moon Palace de Paul Auster, dans un milieu plus poétique Les paradis artificiels de CharlesBaudelaire, dans le genre biographie La vie devant soi de Romain Gary sous le pseudonyme d’Émile Ajar ou encore Moi, Christiane F.

13ans Droguée, Prostituéedes journalistes Kai Hermann et Horst Rieck qui est un témoignage d’une jeune fille en crise dans le Berlin des années 70-80, dans un domaine de psychologie Lejouer d’échecs de Stefan Zweig, sur la théorie de l’absurde dont Camus était le roi La chute m’a énormément plu, ou encore dans des romans épistolaires j’aibeaucoup apprécié Le cercle littéraires des amateurs d’épluchures de patates de Mary Ann Shaffer et Annie Barrows.

Mais je suis par-dessus toute une grandeamatrice de polar et thriller, Micheal Connely, Fred Vargas, Manuel Vazquez Montalban ou bien Douglas Kennedy… Conclusion : À force de lire, nous apprenons, nous finissons par « savoir ».

Ainsi nous acquérons des moyens de parler ce que nous savons.

Que font d’ailleurs les savants dansleurs essais sinon parler de qu’ils savent et qu’ils sont souvent les seuls à savoir et à pouvoir comprendre ?Je comprends assez bien le jugement de Jean-Jacques Rousseau qui réservait à son élève, Émile, l’apprentissage d’un métier manuel, mais si nous bannissons denotre éducation la lecture, et ce qu’elle apporte comme savoir et connaissance, ne renierons-nous pas de ce fait notre culture et notre histoire ?. »

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