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Introduction + Explication de texte lettre 4 La Nouvelle Héloïse en Hypokhâgne

Publié le 11/11/2023

Extrait du document

« Correction DST : 1) Entrée en matière + présentation œuvre/auteur Partir de l’épistolaire et amener avec Julie et la Nouvelle Héloïse, multiplication des épistoliers, aller directement dans l’aveu (Phèdre ou PdC), apparaît comme point, public captivé est intrigué par cet aveu, repensant l’aveu, ce qu’on pense de cet aveu, le problème de la Nouvelle Héloïse est de savoir comment l’on vit avec ces sentiments. 2) Situation passage dans l’œuvre Cet aveu est déclenché par les lettres de Saint-Preux, rappelé plusieurs fois, envisage de partir, de plus écrire, il joue de l’ambigüité de partir, il envisage de mettre fin à ses jours, aveu formulé pour retenir l’autre, prendre 3,4 citations, ce qui provoque le passage à l’aveu.

Il y a eu un baiser entre les deux 3) Thématique du passage Aveu, le suicide de Saint-Preux est un leitmotive du livre 4) Lecture 5) Dynamique du texte (Plan) Borne des unités de sens, donner des titres les plus conceptuelles possibles, motivation de l’aveu, modalité, Motivation de l’aveu, modalité de l’aveu, blâme de Saint-Preux, Histoire de l’amour de Julie. 6) Projet de lecture Amour paradoxal, dans la Princesse de Clèves conflit entre l’énoncé et l’énonciation, avoue son amour tout en blâmant celui qu’elle aime, à été forcé de la faire, obligé d’être dans la situation de l’aveu, l’énonciation dit l’aveu, elle n’avoue pas complétement, non possibilité de vivre son sentiment, modalité d’un aveu, pas sûr que l’autre éprouve la même chose, le paradoxe c’est qu’il faut avouer tout en gardant soi, on se demande si cette aveu ne concentre pas la dialectique, paradoxal puisqu’entre la transparence, il synthétise, on peut parler de la dialectique entre la ‘transparence et l’obstacle’ (Jean Starobinski), retour du paradoxe de cette aveu.

Ce projet doit gouverner l’étude avec l’utilisation régulière des termes avec un cours bilan en quelque phrase, il vient juste reprendre le projet de lecture. Avancement ligne par ligne, ‘Il faut donc l’avouer enfin’  nécessité, falloir est un modalisateur peut être un adverbe, modalisateur déontique de la nécessité qui s’emploient à la forme impersonnelle, la nécessité s’impose à Julie, l’idée d’un dialogue épistolaire, échange sur le mot, chose comparable, le donc, conjonction de coordination, cela signifie que ce segment est une réponse aux tentatives de St-Preux, sorte de soulagement, le « l’ », le référant du pronom et derrière, antéposition de l’adjectif ‘fatal’, le trop mal déguisé, perçu des éléments, épistolière, basculement au niveau de l’auteur, puisque le lecteur c’est que c’est ce qu’il faut penser, il m’échappe et me l’arrache, St-Preux apporte la preuve grammatical puisque Julie est le complément, pas sujet, elle ne fait pas l’action elle en est l’objet.

Conjonction de coordination  conséquence l’honneur est perdu, moyen d’interpellé l’autre, motivation de l’aveu, normalement l’aveu est un acte de décision, or ici l’aveu ne se décide pas, isolation de ces deux phrases, question des statues des questions, préciosité quelconque.

La figure de l’autoprotection, la figure de l’épanorthose, ne m’as-tu pas trop entendu, fatal secret, scène de rapprochement, par ailleurs, citation des vers de Phèdre, mobilisation de l’intertexte, procédé qui font que cette lettre s’apparente à une tirade ou une tragédie, autocorrection immédiate entre l’énonciation et l’énoncé, contenu de l’énoncé est refusé, deviner le reste et l’on revient au projet de lecture.

Isoler le blâme de St-Preux, renvoie.... »

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