initium de Verlaine (commentaire)
Publié le 24/06/2012
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«
INITIUM (=le commencement)
V- La silhouette féminine est magnifiée et le vocabulaire employé suggère l’intensité du
sentiment.
La femme est caractérisée par le terme « blond » que l’on associe à la
pureté.
« Son âme d’enfant » (ce que l’innocence collectif véhicule).
Cette innocence est
contredit par « yeux verts » colporte des images négatives plus précisément la traitrise.
La femme véhicule une image très ambigüe.
L’ambigüité de la de l’im age de la femme
est caractéristique de cette époque.
Baudelaire a la même conception de la femme qui
est à la fois porteuse de valeur positive mais a aussi un coté négatif, la traitrise.
L’idée
du temple, le fait qu’il est en adoration.
Cet amour lui est particulier la femme est déifiée.
Mais peut -on invoquer un être humain ?
VI- Les comparaisons et les métaphores participent a cette atmosphère suggestive puisque
les procédées de style transfigurent la réalité du bal et mêlent rêve et fait réel.
Le texte
est majoritairement écrit à l’imparfait exprimant le rejet et l’évocation de l’atmosphère
propice à la naissance de l’amour.
[Ravive la flamme amoureuse].
On retrouve un
certain nombre de procédés stylistique : les personnifications, les comparaisons
« comme un baiser » « comme un vers ».
Le rythme impair est valorisé dans la poésie
Verlainienne.
L’auteur prend ses distances par rapport aux codes académiques.
Cette
liberté le poète l’exprime par la forme : deux quintiles, un quatrain et un vers, cette
dernière donne l’impression d’une chute.
Il y a des sonorités tout au long du texte.
Il y a des sonorités tout au long du texte.
Le
poème joue sur la musicalité.
Le [L] qui donne une fluidité/ limpidité a l’ensemble de la
scène.
Une harmonie qui est en coordinati on avec le bal.
Les sonorités en [Z], douce qui peut évoquer la douceur féminine.
Cela peut être le son
des instruments à cordes.
Le [m] évoque une certaine langueur.
Il suscite une sorte de
rêverie sentimentale.
Les diérèses on un effet d’allongement de m ise en valeur, Donne
une certaine expressivité « mélodieuse » « passion » « superstition » terme sur lequel
Verlaine veut mettre un accent le « violon » peut être un instrument assez mélancolique
qui peut suggérer la plainte.
L’auteur prend ses distances par rapport aux codes
académiques.
Cette liberté le poète l’exprime par la forme : deux quintiles, un quatrain
et un vers, ce dernier donne l’impression d’une chute.
Art poétique rédigé en 1874, lors de sa liaison avec Rimbaud
Verlaine y définit ses principes : il faut, pour lui accompagner impressions et sensations par la
mélodie des mots et par un mètre impair et original.
Rejet du code classique, prône un vers impaire.
Musicalité donc vocabulaire moins varié.
Les
assonances, allitérations sont prés ents pour crée une certa ine musicalité.
Il tord le cou à
l’éloquence pour travailler comme l’impressionniste avec légèreté et apesanteur .
Les poètes ont
ouvert s la voit à des thèmes nouveaux par exemple thème de la ville, de la modernité.
C’est la
célébrat ion de se qui ne pouvait pas se célébrer : la Tour Eiffel, le quotidien .Des peintres tel que
Picasso réalisait des collages.
A l’époque moderne « Art poétique » de Verlaine, recentre la réflexion, les conseils autour d’un
point central, la musicalité, et le vers impair..
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