Gargantua etude linéaires les pèlerins manger en salade

« Nous allons vous présenter une analyse linéaire d’un extrait de gargantua écrit par françois Rabelais, François rabelais est née en 1483 ou 1494 et il est mort le 9 avril 1553. c'est un écrivain français humaniste de la Renaissance, nous allons vous expliquer en quoi Rabelais montre une forme de satire de la religion à travers les pèlerins ? Pour cela nous avons découpé le texte en 3 parties.

D'abord nous allons présenter un récit d'aventures,après nous montrerons l'incapacité des pèlerins face à la situation confronté et pour finir nous expliquerons comment a cause de la religion les pèlerins s'enfoncent dans leur propre mensonge.. Marie, récit d'aventure Le chapitre 38 de Gargantua est un récit d'aventures.

En effet, celui-ci est tout d'abord un récit car comme on peut le constater il est découpé en plusieurs parties.

Tout d'abord on remarque que Rabelais remet les choses dans leur contexte en revenant sur la situation initiale dans les l.

1-5.

Dans un 2nd temps on retrouve l'élément déclencheur l.

6-8 qui nous amènera à un récit d'aventures où Rabelais retrace les péripéties des pèlerins l.9-12 et l.17-20.

Enfin le récit se termine sur une touche positive en effet tout le monde est sain et sauf l.21-23.

De plus, l'auteur use de quelques procédés d'écriture.

En effet, Rabelais utilise des hyperboles avec par exemple le nom commun "torrent" (l.3) qui accentue le fait que le géant boit en grande quantité et le nom "meule"(l.1) qui accentue le fait que les dents de Gargantua sont imposantes et donnent l'impression aux pèlerins qu'il vont finir écrasés.

Il utilise également l'énumération de la l.10-11 et emploie le passé simple sur des verbes d'action tel que "sauvèrent" (l.1), "frappa"(l.7), "attrapa"(l.10), "pissa"(l.17) afin d'accentuer les actions des personnages et de donner un certain rythme au récit. Enfin en créant ce récit d'aventures, Rabelais avait pour intention de critiquer les religieux de manière explicite. Maxime : Le passage de la ligne 6 à 8 souligne plusieurs aspects clés de l’incapacité des pèlerins, à travers lesquels l'auteur explore le drame, l'ignorance, la peur et la maladresse. Le drame est montrer par la phrase "Mais par malheur (l6)" où Rabelais suggère que le destin des pèlerins est scellé par la malchance, ce qui ajoute une dimension tragique à leur situation ainsi cette notion de malheur annonce les événements malheureux qui vont se dérouler. L’ignorance est montrer par "tâte le terrain (l6)" avec son bourdon car le terme "terrain" évoque un lieu vaste, ce qui souligne l'ampleur de leur méconnaissance.

Les pèlerins sont perdus, ce qui renforce leur incapacité à évaluer la situation correctement.

Cette ignorance est aussi illustrée par le fait qu'ils touchent la "le trou d'une dent creuse (l7)" de Gargantua sans en être conscients, ce qui montre leur méconnaissance totale de la nature du danger qui les entoure. La notion de "sûreté( l7)" dans le passage met en évidence la naïveté des pèlerins.

Ils cherchent désespérément à s'assurer de leur sécurité, mais la situation est pourtant claire : ils se trouvent dans la bouche de Gargantua, un endroit bien loin d'être sûr.

Cette quête de sécurité met en.... »