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fiche de lecture simple et claire du jeu de l'amour et du hasard

Publié le 15/04/2014

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Fiche De Lecture Pièce : De Marivaux  « Le jeu de l'amour et du hasard » BIOGRAPHIE DE L'AUTEUR : Nom et prénom : Pierre Carlet de Marivaux ou Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux. Il est né en France à Paris le 04 février 1688 Il est mort à Paris le 12 février 1763 C'était un journaliste, un romancier, mais surtout un auteur dramatique amoureux du théâtre et de la vérité. C'est aussi un philosophe et un moraliste. Il est le 5éme auteur le plus joué par la Comédie-Française après Molière, Racine, Pierre Corneille et Musset Issue D'une famille d'aristocrates originaires de Normandie SES OUVRES LES PLUS CONNUES La Surprise de l'amour (1722)La Double Inconstance (1723)L'Île des esclaves (1725)La Seconde Surprise de l'amour (1727)Le Jeu de l'amour et du hasard (1730)Les Fausses Confidences (1737) LE JEU DE L'AMOUR ET DU HASARD Est une comédie, de 3 actes, représenté en 1730 pour la 1ére fois par des comédiens italiens. C'est la pièce de Marivaux la plus célèbre et la plus jouée en France et en étranger RESUME Silvia, fille de Monsieur Orgon, montre beaucoup d'aversion pour le mariage, surtout avec un jeune homme qu'elle ne connaît pas. Lorsque s'annonce celui qu'elle doit épouser, D...
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« Est une comédie, de 3 actes, représenté en 1730 pour la 1ére fois par des comédiens italiens.

C’est la pièce de Marivaux la plus célèbre et la plus jouée en France et en étranger RESUME Si lv ia, f i l le de Monsieu r Orgon, mon t re beaucoup d'avers ion pou r le ma r iage, su r tou t avec u n jeune homme qu'el le ne connaî t pas.

Lo rsque s'annonce celu i qu'el le doi t épouser, Do ran te, el le change de costu me et de rô le avec L ise t te, sa femme de chamb re, af i n de pouvoi r étud ie r p l us à son aise le caractè re de son p ré tendan t sans se comp romet t re.

Or Monsieu r Orgon est p révenu que le f ia ncé poten t ie l, qu i n’a l u i-même aucune envie d'épouser n' impo r te qu i, a eu la même i dée d' i n te rve r t i r les rô les avec son domest ique.

I l se p résen te donc chez Monsieu r Orgon sous l’appa rence d’un serv i teu r nommé « Bou rgu ignon », t a nd is que son va le t, A r lequ i n , se fa i t passer pou r l u i.

Monsieu r O rgon et son f i ls Ma r io déciden t de l a isser ses chances au « jeu de l’amou r et du hasa rd », se p romet ta n t de s’amuser de la si t ua t ion. Dès que Do ran te a r r i ve sous son t ravest i, M a r io veu t que Si lv ia et l u i se t u to ien t, selon l ' usage des serv i teu rs, ce qu i les gêne bien u n peu au débu t.

Sous son dégu isemen t de soub ret te, Doran te t rouve Silv ia cha r man te et i l l u i fa i t u n b r i n de cou r en l u i ad ressan t u ne sér ie de compl i men ts des m ieux tou r nés.

Obl igée, de son côté, de souff r i r ces assidu i tés pou r ne pas se t r a h i r, Si lv ia f i n i t pa r y p rend re goû t et pa r reg ret te r que le p ré tendu vale t n'a i t pas u ne mei l leu re si t ua t ion sociale.

Celu i-ci, de son côté, est désolé que la p ré tendue L iset te ne soi t qu’une femme de chamb re.

L’emba r ras de la jeune f i l le augmen te de voi r t a n t d’esp r i t et de d is t i nc t ion chez u n vale t, ta nd is que le compo r temen t du p ré tendu maî t re la choque dès qu’ i l pa raî t.

E l le s’en veu t de con t i n ue r la conversa t ion avec « Bou rgu ignon » ma is ne peu t se résoud re à le qu i t ter. L iset te, quan t à el le, est enchan tée du faux Do ran te et p r ie Monsieu r O rgon, le père, de la d ispenser de con t i n uer, pa rce qu’el le p rend ra cet amou r au sér ieux.

E n effet, dès la seconde en t revue, on s’est d i t qu’on s’ai me, tou t en se p révenan t m u t uel lemen t qu’ i l y au ra peu t-êt re à en raba t t re lo rsqu’on se connaî t ra m ieux.

Si lv ia t rouve que L iset te va t rop lo i n avec celu i qu’el le suppose le maî t re ; L iset te, de son côté, fa i t en tend re à Si lv ia qu’el le-même va bien lo i n avec le va let.

Silv ia en p leu re de colère.

E l le ne sai t où el le en est et ne se reconnaî t pas el le-même.

Lo rsque « Bou rgu ignon » su r v ien t, el le veu t s’en al le r et el le res te.

E l le veu t le querel le r et el le le console.

I l se je t te à ses p ieds et el le l u i d i t qu’el le l’a i me ra i t si el le le pouva i t.

Lo rsque son père et son f rè re, qu i son t témoins d’une pa r t ie de cet te scène, l a taqu i nen t i mp i toyab lemen t, el le se fâche.

Quand on l u i d i t. »

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