Fiche de lecture "Eldorado"
Publié le 25/04/2021
Extrait du document
«
Chapitre VI : Le boiteux
Soleiman est dans une camionnette, à l’étroit.
Il pense à son frère et devient de plus en plus déterminé à aller
au bout.
Le camion s’arrête et les passagers descendent, mais Soleiman se rend compte qu’il y a un problème : ils
ne sont pas là où ils sont censés être.Cette camionnette était en réalité un piège, des voleurs sont venus prendre
tout ce que les passagers avaient.
Soleiman se retrouve alors sans argent, mais cependant il lui reste le collier de
son frère.
Tout le monde part, il se retrouve seul avec un homme s’appellant Boubakar, avec une jambe abimée.
Bouhbakar lui dit qu’il ne faut pas retourner à Al-Zuwarah comme les autres, car passer par la Libye est
devenu difficile depuis que les Libyens veulent se faire bien voir par l’Italie.
Soleiman apprend que Bouhbakar est
à la rue depuis sept ans, et que depuis sept ans il veut rejoindre l’Europe aussi.
Il propose d’aller en Algérie, puis
au Maroc, pour rejoindre l’Espagne.
Soleiman le suit.
Chapitre VII : L’homme Eldorado
Salvatore prend la decision de quitter son travaille, il en informe Angelo uniquement.
Il ne peut « plus
supporter ces regards de demande infinie puis de déception ».Il veut renoncer à sa vie actuelle, repartir à zéro.
Plus
de commandant, plus de Salvatore Piracci.
Il brûle sa carte d’identité dans le but de commencer une nouvelle vie.
Cette décision le soulage, il est excité à l’idée de tout refaire.
Il part vers le port, poussa sa petite barque à la mer.
Il rama jusqu’à être suffisamment loin pour allumer son moteur sans se faire remarquer, puis parti en direction
de Sud-Ouest, seul, sans identité.
Chapitre VIII : Je me perdrai a Ghardaïa
Cela fait plusieurs jours que Soleiman et Bouhbakar sont sur la route.
Dans la camionnette à côté d’eux se
trouve un Algérien très bavard qui parle de son bétail qu’il a vendu.
La camionnette s’arrête à Ourgala pour faire le
plein.
Certains passagers descendent pour se dégourdir les jambes, dont Soleiman et L’Algerien.
Soleiman n’a plus d’argent à cause de l’attaque de la camionnette, et Bouhbakar à dépensé ses derniers billets
pour cette camionnette-ci.
Ils devront donc travailler avant de repartir pour le Maroc.
Quand tout à coup une idée
violente vient à Soleiman.Il avança déterminé vers l’Algérien bavard qui était dans un coin à l’abri des regards, et
le frappa violemment jusqu’à ce qu’il perde connaissance.
Il lui prit tout son argent, ce qui fut largement suffisant
pour que Bouhbakar et lui aille au Maroc directement.
Il donna la moitié à son ami, et, pris de remords, continua le
trajet.
Ils arrivent finalement à Ghardaïa où Bouhbakar essaye de trouver une autre camionnette pour les emmener
au Maroc.
Il va au marché et croise un homme mystérieux, il lui donna son collier (on découvre pourquoi plus
tard).
Chapitre IX : Le reine d’Al-Zuwarah
On retrouve Salvatore, plusieurs jours/semaine plus tard au commissariat de police.
Un policier l’interroge sur
son identité mais Salvatore refuse de répondre car il n’a pas encore trouvé de nouvelle identité alors il ne sait pas
quoi répondre.Finalement Salvatore dit qu’il est marin et qu’il vient de Sicile.
Le policier semblait content de ces
informations et décida de l’emmener quelque part.
Salvatore rentre alors dans un grand endroit rempli de richesse
avec un doux parfum.
Il rentre dans une salle et aperçoit alors une grosse et huileuse dame assise.
Cette dame était
très laide.
C’est la « reine d’Al-Zuwarah » du moins c’est comme ça qu’elle s’est auto-proclamé.
Elle est à la tête du plus
gros réseau de passeur de la région, et propose à Salvatore, en lui jetant une liasse de billets à terre, de devenir
capitaine d’un bateau.
Au début il aimait l’idée puis parti finalement vers Ghardaïa avec la seule liasse de billet
qu’il a.
Chapitre X : L’assaut
Soleilman a vécu une attaque des forces de police Marocaine qui brulait les affaires des gens à la rue (dont
Soleilman et Bouhbakar) et capturait les gens et les frappait.
Soleilman et Bouhbakar avaient réussi à s’échapper
de ça en partant courir vers la forêt.
Quelque temps plus tard, Soleilman sort de la forêt et retomba sur les policiers, il comprit alors qu’il préparait
une autre attaque.
Soleilman parti alerté Bouhbakar et les autres dans la forêt.
Les sans-abris (environs 500
personnes) ont donc alors décidé de parti courir vers l’Espagne et de franchir cette frontière pour enfin être libre,
être en Europe.
En attendant le signal de départ, Bouhbakar fait promettre à Soleiman de ne pas regarder derrière et de ne pas
lui venir en aide s’il n’arrive plus à courir (du fait de sa jambe cassée).
Soleiman accepte de faire cette promesse.
Vers trois heures du matin certaine gardes Espagnols sont partis, ils étaient à présent quinze, c’est le moment.
Un
homme cria « A l’attaque ! » et la course vers la liberté commença.
Ils montent les murs malgré les barbelés, les.
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Fiche de lecture sur Eldorado de Laurent Gaudé
- Fiche de lecture le Comte de monte Cristo de ALEXANDRE DUMAS
- FICHE DE LECTURE : LE MONDE OUVRIER DE 1870-1914
- Lecture linéaire fiche gargantua
- Claude Bernard : Introduction à l'étude de la médecine expérimentale (fiche de lecture)