Exposé sur la crasse dans « L'assommoir » d'Emile Zola
Publié le 06/10/2018
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Propreté se trouve chez les Goujet, émerveille Gervaise et le rêve qu'elle essaye vainement d'atteindre : celui de s'établir. « elle resta émerveillé de la propreté du logis » ; « pas un grain de poussière » ; « la bonne odeur de propreté du logement » ; « heureuse d'être là »
Conclusion :
L'auteur, loin d'accabler le bas peuple fait un reportage sur cette classe ouvrière si salie et endommagée par leur image, ne fait que dire la vérité : « C'est une œuvre de vérité, le premier roman sur le peuple qui ne mente pas. Il ne faut pas conclure qu'il est mauvais tout entier, car mes personnages ne sont pas mauvais, ils ne sont qu'ignorants et gâtés par le milieu de rude besogne et de misère ils vivent. » En abordant évidemment de nombreux thèmes révélateurs comme la bestialité de l'homme, l'alcool, le travail, la nourriture. Finalement, la crasse l'emporte sur Gervaise et chez elle : dans la pièce du sixième où elle habite, tout a été vendu : seul reste un tas d'ordures. Elle en arrive à se nourrir de déchets. Elle n'est plus qu'un « guignol », « une caricature » ; elle vit même comme un animal ; elle habite « un vrai chenil, maintenant où les levrettes qui portent [...] dans les rues, ne seraient pas demeurées en peinture ». En bref, ce roman met au clair de façon franche la vérité sur ces basses classes imprégnées des conditions de vie de la classe ouvrière de l'époque.
«
pendaient aux poutres, alourdies par des années de saleté
amassée.
» ; « vaste salle de gargote graisseuse » ; « La
vitrine est recouverte d’excrément de chevaux et le papier
peint se décolle avec l’humidité.
» ; « une mare de boue
coulante » ; «Ses trois chaises et sa commode éclopées, où la
crasse s’entêtait et s’étalait sous le torchon » ; « (...) un
établi tout petit, encombré de pinces, de cisailles, de scies
microscopiques, grasses et très sales.
» ; « C'était une rue
où elle n'aurait pas demeuré pour tout l'or du monde, une rue
large, sale, noire de la poussière de charbon de manufactures
voisines.
» Et même la Seine est atteinte « nappes grasses, de
vieux bouchons et des épluchures de légumes, un tas d’ordures
».
Propreté se trouve chez les Goujet, émerveille Gervaise et
le rêve qu’elle essaye vainement d’atteindre : celui de
s’établir.
« elle resta émerveillé de la propreté du logis » ;
« pas un grain de poussière » ; « la bonne odeur de propreté
du logement » ; « heureuse d’être là »
Conclusion :
L’auteur, loin d’accabler le bas peuple fait un reportage sur
cette classe ouvrière si salie et endommagée par leur image,
ne fait que dire la vérité : « C’est une œuvre de vérité, le
premier roman sur le peuple qui ne mente pas.
Il ne faut pas
conclure qu’il est mauvais tout entier, car mes personnages ne
sont pas mauvais, ils ne sont qu’ignorants et gâtés par le
milieu de rude besogne et de misère ils vivent.
» En abordant
évidemment de nombreux thèmes révélateurs comme la bestialité
de l’homme, l’alcool, le travail, la nourriture.
Finalement,
la crasse l’emporte sur Gervaise et chez elle : dans la pièce
du sixième où elle habite, tout a été vendu : seul reste un
tas d’ordures.
Elle en arrive à se nourrir de déchets.
Elle
n’est plus qu’un « guignol », « une caricature » ; elle vit
même comme un animal ; elle habite « un vrai chenil,
maintenant où les levrettes qui portent […] dans les rues, ne
seraient pas demeurées en peinture ».
En bref, ce roman met au
clair de façon franche la vérité sur ces basses classes
imprégnées des conditions de vie de la classe ouvrière de
l’époque.
2.
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