Exposé Bel Ami de Maupassant: les hommes du roman

« personnage exploite tout le monde il peut jouer la comédie de la morale et de l'honneur abaissé quand un deses journaliste est attaqué dans un journal adverse .On sait tout de suite que sa fortune est mise en avant :« C'était Monsieur Walter, député, financier, homme d'argent et d'affaires, juif et méridional, directeur de laVie Française ».Obsédé par l'argent et le profit, on voit qui a du pouvoir grâce à son journal et tout commeDuroy, il aime posséder et, pour s'enrichir, il n’a pas de scrupules, il n'arrive pas à obtenir le respect, peut-être a cause son aspect petit et rondouillard qui le rend ridicule. Bel-Ami devient envieux et jaloux de son directeur. · Mais il y a aussi monsieur Laroche-Mathieu comme Walter, il sert d'exemple à Duroy.

Il est plutôt critiqué par Maupassant.

Par la grande influence qu'il exerce sur la chambre, Laroche Mathieu possède une certaineautorité.

C’est un personnage moindre dans le début du texte jusqu'à ce qu'il devienne ministre des affairesétrangères.

Là, il commence à se faire jalouser par Bel-ami, puis détesté par lui.

Au départ, Laroche-Mathieuest présenté comme un député dont personne ne doutait.

On dit de lui que : « Tous ces gens-là sont desmédiocres parce qu'ils ont l'esprit entre deux murs, et la politique » Maupassant fait un portrait à peinecaricatural de ce député : « homme politique à plusieurs faces, sans convictions, sans grands moyens, denature douteuse » Laroche Mathieu est un personnage plutôt « passif » qui se fait manipuler par MadeleineForestier, par exemple, qui fera de lui son amant uniquement pour faire entrer dans son salon de grandspoliticiens.

Mais il est pris en flagrant délit d'adultère avec elle par Bel-ami et Duroy brisera sa carrière. · Norbert de Varenne est décrit comme « négligé », c’est « un petit homme à longs cheveux, gros, d'aspect malpropre ».

C'est un poète, assez bon puisque chacun de ses poèmes, contes, etc.

se vendent100 francs, et certains ne font pas plus de 200 lignes ! De Varenne a trop d'honnêteté et manque de « maîtrise et de chic », de cette « rouerie native qu'il fallait pour pressentir chaque jour les idées secrètes dupatron ».

Il n'a pas de grande importance dans le livre, mais dans la vie française, c'est un bon chroniqueur. · Saint potin, est « un petit homme très pâle, bouffi, très gras, chauve, avec un crâne luisant, et le nez sur son papier par suite d'une myopie excessive...».Il travaille comme reporter, il doit trouver des potins.

Ilest très doué pour ça (d'où son nom) et il a l'art de refaire toujours les mêmes sous des titres différents, en« remasterisant » un peu le tout.

On apprend que Saint-Potin est un malin qui a la langue bien pendue.

Iljuge les autres sans indulgence : de Varenne, le poète, est un « raté » ; Rival, l'homme d'épée, « uneresucée de Fervacque ».

Et comme l'excellent reporter « n'est pas avare d'images », il précise sa pensée :De Varenne est un « autre breloque », c'est à dire une sorte de vieille chose qui a trop servi, et Rival, un « Don Quichotte ».. »