Etude linéaire Acte 3 scène 8 les fausses confidences

« Étude linéaire : Les Fausses confidences, Marivaux (1737) :ACTE III, 8 Les Fausses confidences de Marivaux représentées pour la première fois en 1737 sont une comédie sentimentale.Marivaux est un célèbre écrivain de la première moitié du 18eme.Il est célèbre pour ses comédies sentimentales comme Le Jeux de l’Amour et du Hasard, ses comédie sociale avec L’Ile des Esclaves mais il s’est aussi essayé au roman avec L a vie de Marianne .Cette lettre est la dernière étape de la machination de Dubois.

Tout est structuré autour de la lettre.

Dubois a convaincu Marton de subtiliser la lettre de Dorante à Arlequin.

C’est une fausse lettre mais Dubois oblige ainsi Araminte à agir, soit elle est obliger d’avouer qu’elle l’aime puis l’épouse soit elle le renvoie.Comment la lecture publique d’une lettre où D.

révèle son amour pour A.

provoque une opposition des perso ? PLAN : I)début de la scène à « au galant ! » ⇒ le comte lit la lettre où D.

révèle son amour pour A. II)« Le beau motif » à « Marton sort.

» ⇒ Araminte s’emporte contre Dorante. III)« Mais, ma fille » : la fin de la scène 8 ⇒ Araminte s’oppose au comte et à sa mère. -« Voilà une lettre de recommandation » :Marton a déjà organisé son départ en recommandant un successeur *C’est une lettre d’amour (⇒ surprend) -« Comment ! » ⇒ exclamat° révèle son attachement secret pour D. -didascalie « donnant la lettre au Comte.

» ⇒ Marton focalise la scène autour de la lecture de cette lettre *le comte « lit haut » , « mon cher ami » ⇒ pas une lettre officielle - « dont je ne guérirai jamais.

»hyperbole ⇒ amour inébranlable (registre tragique) *effet d’attente « la dame que vous savez » -« De la passion ! Entendez-vous, ma fille ? » ⇒ lecture interrompue par l’exclamation et l’interrogation ironiques d’Arg.

(prétention de la bourgeoisie) * « Càd que le perso.

sait peindre » *Arg.

Mène un travail d’interprétation -le comte poursuit, sa seule fonction consiste à lire ⇒ son rôle est réduit (échec de ses projets) -Dorante annonce son renvoi : « avec le chagrin d’être renvoyé » -lettre de D.

⇒ amour courtois : homme de rang inférieur vénère une femme inaccessible *mais il l’ordre soc.

Punit ses envies ⇒ ironie Arg « que j’adore ! » ,elle le méprise -« celui-là« met D.

à distance et le det possessif « ma » souligne l’emprise de Arg/A. -«Eh ! pourquoi non ?» ⇒ incarne une bourgeoise obsédée par l’argent et méprisante des sentiments *interjections de + en + expressives - comique de répétition (interrogations) ⇒ Arg ne comprend pas comment D.

peut aimer A. -« en avez-vous le cœur net, ma fille ? » ⇒ q° rhétorique d’Arg , Araminte doit reconnaître que Dorante l’aime et le virer -A.

choquée et en colère « Quoi ! » , le fait sortir - Rémy défend D.

⇒ « c’est de l’amour qu’il a » *« s’il était riche » souligne que seule l’absence d’argent rend ses sentiments « ridicules » -« je n’en veux point » ⇒ négation totale : refus catégorique *montre qu’elle aime D.

et s’oppose au Comte CCL:La lecture publique d’une lettre où Dorante révèle son amour pour Araminte provoque l’opposition des personnages qui se partagent en deux camps.D’un côté, Madame Argante et le comte symbolisent l’alliance intéressée de l’aristocratie et de la grande bourgeoisie, pour qui ne comptent que l’intérêt.Les autres personnages, au contraire, sont favorables à Dorante et à l’épanouissement amoureux. OUV: Le jeux de l’Amour et du hasard où Silvia et Dorante ont un amour pur (à revoir).. »