Ernest Renan a écrit : « Un monde sans science, c'est l'esclavage, c'est l'homme... assimilé à la bête de somme. Le monde amélioré par la science sera... le règne des hommes libres ». A l'aide d'exemples, montrez comment la science, aidée de la technique, a commencé à libérer l'homme.
Publié le 20/02/2011
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Au commencement de son histoire et bien longtemps après encore, l'homme ignorait tout du monde où il vivait. Peu à peu, à travers ses luttes, ses souffrances, ses échecs, ses réussites, il en a soupçonné les lois. Dès lors son principal effort a été d'appliquer ces lois à maîtriser les forces qui jusque-là lui avaient presque toujours été hostiles et à les plier à son service. De sa science toujours plus grande il a fait l'instrument de sa libération.
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- André Gide s'adresse ainsi à un jeune homme : « Ne cherche pas à remanger ce qu'ont digéré tes ancêtres. Vois s'envoler les grains ailés du platane et du sycomore, comme s'ils comprenaient que l'ombre paternelle ne leur promet qu'étiolement et qu'atrophie ... sache comprendre et t'éloigner le plus possible du passé. » Par ailleurs Renan a écrit : « Tous les siècles d'une nation sont les feuillets d'un même livre. Les vrais hommes de progrès sont ceux qui ont pour point de départ un res
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- Dans son livre Parole d'homme, Roger Garaudy, estimant qu'aujourd'hui la jeunesse est bien plus influencée et formée par les mass-media que par la cellule familiale, écrit : « La famille, dépossédée depuis longtemps de sa fonction d'éducation technique, est de plus en plus évincée de sa fonction d'éducation morale : elle apparaît le plus souvent aux jeunes, non sans raison, comme une institution conservatrice et ils ne se déterminent plus par rapport à elle, sinon par opposition. C'est
- Victor Hugo écrit : «La nature procède par contrastes. C'est par les oppositions qu'elle fait saillir les objets. C'est par leurs contraires qu'elle fait sentir les choses, le jour par la nuit, le chaud par le froid, etc.; toute clarté fait ombre. De là le relief, le contour, la proportion, le rapport, la réalité. La création, la vie, le destin, ne sont pour l'homme qu'un immense clair-obscur. Le poète, ce philosophe du concret et ce peintre de l'abstrait, le poète, ce penseur suprême,
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