En 2015, deux jeunes garçons, Roland et Henri, habitaient le Limousin. Ces deux garçons considérés comme des génies dans leur village natal étaient rival. Pour n’importe qu’elle sujet, ils avaient un avis différents que ce soit pour le meilleur rôti ou pour la peine de mort. Ce matin, ils partirent tôt pour cueillir des champignons.
Publié le 07/11/2011
Extrait du document
«
baïonnettes, d’éclat d’obus ou encore de maladies si nombreuses qu’on ne peut toutes les
répertorier.
Souviens-toi de ces soldats lorsqu’ils ont douté des raisons dites ‘nobles’ de
cette guerre ont étés fusiller pour cause de mutineries.
Souviens toi jusqu’ou a pu aller la
bêtise humaine.
Pourquoi donc aider la grande faucheuse à faire sa moisson d’âmes ? Ne
pourrions nous pas bénir notre prochain, au lieu de le maudire et de l’envoyer au trépas ?
Ceux qui appellent à la gloire et à la vengeance ne sont que des idiots qui n’ont jamais connu
le feu dévorant des combats.
Quelqu’un qui renonce a tué son ennemis est-il un couard ou
un héros ? Je pense qu’il faut du courage pour renoncer a tué son ennemi car cela demande
une forte maîtrise de son instinct.
À quoi rimes ces guerres incessantes ? Quels sont leurs
buts ? Je n’en vois aucun à par celui d’engendrer des veuves et des orphelins.
Henri,
qu’avons-nous gagné en quatre ans, à par des millions de mort, la destruction de
nombreuses villes, des paysages ravagés, et une faillite économique de la France ? »
questionna Roland, il s’aperçut que pendant ce long monologue, il avait oublier de respirer.
Ce fut donc avec joie qui but quelques goulées d’air.
Il se retourna vers Henri qui avait
jusque là une expression concentrée.
Soudain son visage s’éclaira d’un sourire qu’on pu
définir de simiesque.
« L’alsace et la Lorraine ! » répondit-il avec une pointe d’ironie et d’insolence sensiblement
perceptible.
Roland leva sur Henri des yeux bleu foncé et le fusilla du regard espérant
secrètement que son ami tombe raide mort à cet instant.
Roland tremblait d’impatience, son
ami lui avait donné une réponse ridicule certes mais une réponse quand même.
« Aux prix de millions de mort pour deux parcelle de territoire, ne crois tu pas que des
ambassades bien menées auraient pu récupérer ces fameux territoire »dit Roland
« C’est une honte ce que tu dis, des millions d’hommes sont morts pour nous défendre et
tous ce que tu trouve à faire pour les remercier c’est de les insultés.
Aurais-tu préféré que
nous rendions les armes que nous nous laissions se faire égorger ?
Les hommes font la guerre pour leur pays pour sa gloire, ils ne font pas cela pour le plaisir de
s’entretuer.
Ne ressent tu pas cette joie dans tes entrailles en sachant que l’ennemie qui a
tué ton grand –père est mort ? »demanda Henri qui rougissait de fureur.
Roland se redressa de toute sa stature et regarda son ami qui lui était toujours occupé à
ramasser des champignons.
Du haut de ses quinze ans, il sentit son esprit étonnement
calme, il entreprit alors une argumentation
« Je ne ressens aucune joie à savoir que celui qui a tué mon grand-père est mort.
Crois tu
vraiment que l’homme qui a vu sa maison bombardé par les français et les allemands est
reconnaissant aux français d’avoir gagné la guerre ? L’être humain se considère comme
supérieure aux animaux alors qu’en fait il n’est rien de plus que le plus terrible des animaux
car il utilise son intelligence pour savoir comment se tuer plus facilement.
N’est-ce pas un
raisonnement irrationnel ? Le philosophe Ovide a dit un jour une phrase qui caractérise bien
l’espèce humaine : Je vois le meilleur et je l’approuve, je fais le pire.
» argumenta t-il
« Les guerres n’ont pas apportées que du malheur, voit le peuple allemand après la 1 ère
guerre mondiale, grâce a Hitler ils ont pu remettre l’économie en marche, ils ont fait baisser
le chômage grâce à la production d’armes et à la création de route.
De plus la France n’est t-.
»
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