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Dissertation sur la violence

Publié le 30/11/2012

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<< Le contraire de la violence n’est pas la douceur, c’est la pensée.>>                                                                                               Etienne Barilier La création de l’univers est née d’une explosion, les catastrophes naturelles témoignent d’une violence immensurable, les animaux usent de la violence afin de survivre, cette dernière qui se trouve à la base dans la nature mais qui est amplifiée par l’homme vivant dans une société qui aspire à la non-violence, mais qui use toujours et encore de la force afin de régler ses problèmes. Nous sommes donc en droit de nous demander quel est le contraire de la violence. La douceur nous vient en premier à l’esprit, mais la pensée, comment pourrait-elle être le contraire de la violence, elle qui est intérieure et subjective, mais qui peut amener le dialogue et ainsi la désarmer sans oublier qu’elle est étroitement liée à la violence psychologique et qu’elle permet également  la transmission d’idées néfastes.   Penser nous permet de combiner des idées, de concrétiser un projet et d’atteindre certains buts, alors que la violence relève de la brutalité et n’a pour objectif que de faire du mal. En effet, nous vivons dans une société qui pense que seul la violence peut faire cesser la violence, c’est notre côté primate qui le veut et qui nous pousse à appliq...

« 1Petit traité de vie intérieure, Frédéric Lenoir, chapitre 13 suspendre la violence.

En effet, le dialogue est une arme redoutable contre la violence, car il permet la recherche de la vérité et de la justice2 et ainsi la suspension de cette dernière.

Mais la suspension de la violence met-elle nécessairement fin à la violence, bien sûr que non, mais le dialogue permet de prévenir tout acte de violence quel qu'il soit, en apprenant à des personnes qui ont vécu dans un milieu difficile et violent à avoir recours à la parole plutôt que d'en venir aux coups.

Bien que cette méthode soit rudimentaire mais que peu utilisée, un monde comme la nôtre qui souffre tant de toute cette violence, a besoin de plus de personnes de marque tel que Barack Obama, qui instaura la méthode du ''Soft Power'' à la suite de son mandat présidentielle en 2008.

Ce procédé consiste à faire appel au dialogue et à la réflexion à la place de la violence, contrairement à son prédécesseur George Bush qui lui, s'appuyait sur le ''Hard Power''.                   La violence témoigne d'une agitation tandis que la pensée est un signe de réflexion qui nécessite un lieu calme et prospère pour s'y adonner entièrement.

Penser peut être considéré comme un synonyme de méditation, et permettrait ainsi de mettre de côté les idées négatives et autodestructrices.

En effet, à force de se forcer à penser constamment de manière positive, nous pourrions tous aspirer à la non-violence et ainsi imiter les moines bouddhistes, qui par la pensée, la réflexion profonde, parviennent à plonger dans leurs racines inconscientes, et ainsi être des apôtres de la non-violence.

Car rappelons-nous,. »

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