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DISSERTATION "le joujou du pauvre"

Publié le 19/01/2013

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INTRODUCTION « Le joujou du pauvre « de Charles Baudelaire est un poème en prose du XIX siècle extrait du recueille de poème « Le Spleen de Paris «. C’est aussi un apologue, c’est une anecdote mettant en scène deux enfants ne faisant visiblement pas partit du même monde l’un  riche l’autre pauvre. On a une morale implicite.  L’apologue, en effet, offre d’abord un récit poétique de l’univers de l’enfant riche comme de celui de l’enfant pauvre permettant à ce dernier de susciter notre curiosité. Le récit de la « rencontre « des deux mondes, ensuite, est amené progressivement par Baudelaire qui ménage le suspense et gagne notre adhésion. La « leçon « s’impose alors comme une prise de conscience de l’existence et de la valeur de ces enfants pauvres. I- Le narrateur 1- l’effet crée par le narrateur   Les deux premières phrases du poème expriment la pensée directe du narrateur et ce qu’il a envie de démontrer pour la suite du récit, ligne 1 : « Je veux donner l’idée d’un divertissement innocent «. Baudelaire veut créer un effet de suspense et de surprise à la suite du récit grâce à ses paroles ; il veut entre autre que l’on...

« voulu créer un effet de surprise car on commence à parler du monde riche beau...

et à la fin on parle de pauvreté, d'un rang sociale totalement différent. 2-se que veut démontrer le narrateur   Le narrateur veut montrer qu'à l'échelle d'un même monde géographique il existe deux mondes économiques et sociaux bien différents l'un par rapport à l'autre.

On constate aussi qu'on ne remarquait pas ces enfants auparavant mais ce texte nous fait comprendre qu'il suffit de regarder autour de soi pour le remarquer.

Entre autre le narrateur délivre une petite leçon de vie par ses paroles et ses pensées en s'inspirant de la vie réelle et de la société de l'époque.

Le narrateur veut montrer la triste réalité à travers un simple récit, c'est un récit réaliste.

    II-LES DEUX ENFANTS, LA REALITE, LA REFLEXION. 1-l'écart sociale à travers le récit et la réalité Dans le troisième paragraphe  Baudelaire décrit le premier enfant, le situe géographiquement et socialement.

Il le décrit : « un enfant beau et frais » Ligne 13 et il décrit à traves l'apparence physique de l'enfant  et de la propreté de son jouet son rang social (sa richesse) : « habillé de ces vêtements de campagne si plein de coquetterie.

Luxe... » Ligne 14.15.

Le narrateur situe l'enfant dés le début du paragraphe : « sur une route » Ligne 12.Il précise également la présence du «  joujou splendide aussi frais que son maître, vernie, doré, vêtu d'une robe pourpre... »Ligne 18 (Mélioratif). Baudelaire situe et décrit l'autre enfant : « de l'autre côté de la grille, sur la route, entre les charbons et les orties »Ligne 21, Il le décrit : « enfant sale, chétif, fuligineux » Ligne 22.

Le narrateur désigne l'enfant de différent propos qui montre un très faible rang sociale comme : «  le petit souillon »Ligne27.

Il montre aussi le peut d'argent que possède les parent par rapport au jouet de celui-ci : « Les parents, par économies sans doute avaient tiré le joujou de la vie elle-même »Ligne 28.29, cela nous montre également que le narrateur tire des conclusions.

Le jouet du « pauvre » est un rat se qui montre une fois de plus un très grand écart de société (Péjoratif).

Le narrateur emploie une expression qui insiste sur cet écart : « on les croirait faits d'une autre pâte. »

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