Didier Daeninckx

« Roger THIRAUD rédigeait un petit livre sur sa ville natale Drancy.

Ses investigations lui dévoile que Roger THIRAUD a découvert qu'un certain Veillut Directeur des affaires Criminelles a organisé le transfert de familles juives pour le camp de concentration de Drancy.

Mais Veillut a profité des troubles du 17 octobre 1961 pour le tuer.

Bernard Thiraud, le fils, a voulu terminer le livre de son père et parvenu aux mêmes conclusions sur les déportations de juifs, a subi le même sort que son père vingt ans après.

Estelle Notre avis Nous avons bien aimés ce livre, car ce livre est plein de rebondissements, et qu'on ne s'attend pas a ce que ces deux meurtres soient liés a la seconde guerre mondiale, car tout le livre parle surtout des mouvements qu'il y a pu avoir lors de la guerre d'Algérie.

On apprend beaucoup de choses pendant cette époque car ce livre est inspiré de faits rééls.

Contexte historique en 1961 en rapport avec le livre Les événement du 17 octobre 1961 désignent la répression sanglante ayant frappé une manifestation organisée par le Front de libération national algérien (FLN) en faveur de l'indépendance de l'Algérie à Paris.

Des dizaines à des centaines d'Algériens, selon les ressources, sont mort lors de la confrontation avec les forces de l'ordre alors dirigées par le prefet de police Maurice Papon.

Les manifestants internés dans des centres de détention pendant quatre jours y auraient subi des violences.

Ségolène Entre 20 000 et 30 000 Algériens , hommes, femmes et enfants vêtus de l'habit du dimanche étaient présents pour témoigner de leur volonté de dignité.

Les armes étaient interdites lors de la manifestations pour les algériens.

Les policiers jusque 19h, arrivent a faire face aux Algériens et a les diriger vers des commissariats.

Mais quelques uns arrivent quand même a passer.

Des coups de feu sont alors tirées.

Le secteur des Grand Boulevards et de Saint-Michel Saint Germain, sont particulièrement violents et sanglants.

L'historien Jean- Paul Brunet constate 30 à 50 morts alors que dans le livre « Bataille de Paris » de Jean-Luc Einaudi les policiers ont fait ce soir là 200 morts.

La question du nombre exact d'Algériens tués par les forces de l'ordre restent la question la plus ardemment débattue.

Nombreux avaient été les journalistes à couvrir la manifestation du 17, mais la censure de la presse en vigueur pendant la guerre incitant à la prudence, c'est le point de vue officiel que reflète la presse quotidienne le 18 au matin, mais dès le 19, les journaux publient une version plus détaillée des événements.

Estelle : Tu lis le premier extrait à la page 37 ( ya des crochets ;P) tu dis que c'est là où se fait tuer Roger Thiraud Ségolène : Je lis le deuxième extrait à la page 148. »